Exclusif - Nicolas Sarkozy et sa femme Carla Bruni-Sarkozy arrivent à l'anniversaire de la mère de Nicolas Sarkozy qui a fêté ses 88 ans au restaurant 154 à Paris, le 11 octobre 2013.© BestImage
Elle était restée discrète jusque-là, mais Carla Bruni-Sarkozy, ex-première dame française, a accepté d'évoquer l'affaire politico-médiatique qui secoue la France et le monde depuis le vendredi 10 janvier, jour de la révélation par le magazine Closer d'une liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet.
Carla, qui a épousé Nicolas Sarkozy en 2008, a certes choisi d'évoquer ce GayetGate mais elle a refusé de prendre parti, estimant qu'elle n'avait pas à entrer dans "l'acharnement" médiatique qu'elle a, dit-elle, bien connu.
"Je ne veux pas faire partie de la meute. Je déteste l'acharnement , en particulier l'acharnement médiatique", a-t-elle confié au journal allemand Welt am Sonntag, nous apprend l'AFP. Et de poursuivre que cette situation la touche particulièrement : "Je l'ai vécue moi-même, j'en ai suffisamment souffert."
Regardée, épiée, décortiquée, Carla Bruni a l'habitude d'être dans le tourbillon médiatique. Autrefois mannequin réputé, chanteuse depuis des années, sa parenthèse à l'Élysée a été largement commentée dans la presse.
Maman de la petite Giulia (née en 2011), fille issue de son mariage avec l'ancien chef de l'État, la mère d'Aurélien (dont le papa est Raphaël Enthoven) chérit aujourd'hui la tranquillité et la paix que lui apporte sa nouvelle vie loin de l'Élysée, du protocole et des flashs. Celle qui a renoué avec la musique avec le superbe album Little French Songs, pour lequel elle poursuit actuellement sa tournée, savoure avec plaisir sa vie de famille dans l'ombre.
Désormais, François Hollande, qui n'a pas démenti l'information de Closer, devrait faire le point avec Valérie Trierweiler, sortie de l'hôpital après neuf jours, suite au choc du GayetGate. La journaliste a remercié ses soutiens sur Twitter et devrait rester quelques jours dans la résidence de la Lanterne, à Versailles, pour poursuivre sa convalescence.
François Hollande devrait clarifier sa situation personnelle avant le 11 février, date de son départ pour un voyage officiel aux États-Unis. En déplacement aujourd'hui aux Pays-Bas, il a refusé de commenter cette affaire, précisant simplement : "Valérie Trierweiler va mieux et elle se repose à la résidence de Lanterne, pas d'autre commentaire à faire."
Il va falloir attendre encore un peu pour en savoir plus...
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