C'est reparti pour un tour ! Après le succès de la première saison en 2022, M6 relance l'aventure des Traîtres ce mercredi 12 juillet en prime time. Le principe reste le même : deux équipes vont se faire face, les Loyaux et les Traîtres. Pour les Loyaux, le but est de démasquer les Traîtres. Quant aux Traîtres, ils doivent obtenir la confiance des Loyaux pour se maintenir dans le jeu. Et le casting promet déjà de livrer de belles stratégies. On retrouvera par exemple Nathalie Marquay et son fils Tom mais aussi Caroline Margeridon.
Celle qui a bien du mal avec le départ de Sophie Davant dans Affaire conclue continue donc de se faire une place incontournable dans le milieu audiovisuel. Une belle réussite pour l'acheteuse qui a connu des épreuves difficiles dans le passé. Elle en a fait le tour dans son livre autobiographie Libre ! paru en novembre 2021. À travers ses pages, Caroline Margeridon a notamment raconté un épisode traumatisant qui a changé le cours de sa vie.
Tout a été réduit en cendres
"Lorsque j'ai eu 11 ans, ma famille a explosé en vol, quand notre maison de campagne en Normandie du XVIIIe siècle, tout à colombages, a entièrement brûlé devant mes soeurs et moi, à la suite d'un court-circuit dans la bibliothèque", a-t-elle écrit. À l'époque, les soeurs ont évité le pire, s'étant retrouvées seules face à cet accident. "Notre père n'était pas là, comme d'habitude, notre mère était restée chez des amis, c'est leur fils aîné qui nous a raccompagnées. Imaginez, à cet âge encore jeune, votre maison en flammes avec votre chien et votre chatte à l'intérieur", se souvenait-elle encore très marquée. Il faut dire que tout le monde n'est pas ressorti indemne. "Tout a été réduit en cendres. Notre passé, notre enfance, notre chien Castor et notre chatte Mina qui me faisait peur et me coursait dans les couloirs quand j'étais petite. Ça a été un cataclysme dans notre vie."
La famille a bien tenté de rebondir en achetant un nouveau bien, dans la Beauce, "tellement plus triste que la Normandie", a regretté Caroline Margeridon. Mais, en plus du lieu, c'est l'ambiance au sein du clan qui n'était plus la même, la faute à l'éparpillement de chacun. "Le père de mes soeurs s'y est presque installé à plein temps. Ma mère n'avait plus que moi, ma grande soeur était partie à Biarritz finir ses études chez mémé, la moyenne était en internat à Saint-Germain-en-Laye", a-t-elle détaillé dans son livre.