On ne présente plus Caroline Margeridon, l'une des acheteuses d'Affaire conclue (France 2) depuis 2018. Sa personnalité drôle et pétillante avait rapidement conquis les coeurs des téléspectateurs pour faire d'elle la star du programme de brocante. Forte de sa popularité, et toujours plus suivie sur ses réseaux sociaux où elle en dit beaucoup sur son quotidien, Caroline Margeridon a eu l'idée de publier en novembre 2021 un livre baptisé Libre !. Il s'agit de son autobiographie dans laquelle elle se confie sans filtre sur son parcours.
Elle y raconte notamment sa jeunesse très agitée et surtout très festive. "J'ai eu une longue période boîte de nuit. De l'âge de 11 ans jusqu'à 31 ans, âge où j'ai eu mes bébés", écrit-elle en faisant référence à ses enfants Victoire et Alexandre. Le Bus Palladium, le Castel, le Palace ou encore l'Elysée Matignon... Caroline Margeridon était alors de toutes les soirées parisiennes. Elle se rendait même au Pousse au Crime, "une boîte de lesbiennes à deux mètres de chez Castel". Là-bas, elle était protégée par une certaine Arlette. "Tout le monde l'appelait Monsieur. Elle était Compagnon du Tour de France et serrurière. Elle était aussi haute que large. Elle faisait croire que j'étais sa fille pour que personne ne m'embête dans ce monde que je ne connaissais pas, c'était sa manière de me protéger", la décrit l'antiquaire.
Tête dans la cuvette et chasse tirée
Et cette Arlette était un véritable garde du corps. Dans son livre, Caroline Margeridon se souvient d'un épisode en particulier où son aide a d'ailleurs été précieuse. "Arlette, qui ne me quittait pas des yeux, s'est rendu compte qu'une femme me suivait aux toilettes. Elle a eu raison de s'inquiéter car, à peine arrivée, elle s'est jetée sur moi pour m'embrasser. Arlette l'a attrapée fermement, lui a mis la tête dans la cuvette et a tiré la chasse !", apprend-t-on. Une évocation du passé qui a rendu nostalgique l'acheteuse. "Qu'est-ce que j'ai pu m'amuser avec elle ! Elle n'est hélas plus de ce monde et j'en suis très triste", confie-t-elle encore.