Lundi 29 août, Cyril Hanouna sera de retour sur C8 avec une nouvelle saison de Touche pas à mon poste. Il s'agit là de la 13e saison de l'émission qui rencontre toujours autant de succès. À tel point qu'elle a bien rempli les poches de l'animateur. En effet, ce dernier est aujourd'hui "blindé" comme l'ont souligné Elise Goldfarb et Julia Layani dans leur podcast Elise & Julia auquel il était invité.
Mais peu importe l'argent qu'il gagne, Cyril Hanouna l'assure, il est toujours le même. "Tu ne t'en rends pas compte en fait. Tu ne changes pas réellement de travail, tu fais toujours la même chose. Moi, j'ai toujours les mêmes potes qui sont avec moi depuis que je suis à l'école", a-t-il confié. Le présentateur phare explique également qu'avoir un salaire confortable n'a jamais été sa priorité. C'est sa passion pour la télé qui le pousse à multiplier les projets. "Mon but, ce n'était pas de gagner de l'argent, c'était de faire de la télé et de kiffer. Le mec qui se dit : 'je vais faire de la télé parce que je veux gagner de l'argent' ou 'je vais faire un truc parce que je veux devenir blindé', il est mort. Pour moi, ce n'est pas du tout la bonne démarche".
Il faut dire que Cyril Hanouna a connu des épisodes plus difficiles dans le passé. En effet, avant d'arriver en haut du podium, sa carrière avait plutôt du mal à décoller. Lorsque l'émission Morning Live, qu'il présentait sur M6 pour remplacer Michaël Youn, s'est arrêtée en 2003, il s'est même retrouvé sans le sou. "J'ai galéré pendant des années, j'étais en tanasse. Ma mère me donnait 200 euros par semaine et je vivais avec ça. Je n'avais rien d'autre", s'est-il souvenu. À cette époque, Cyril Hanouna peinait même à se loger : "Je vivais dans un studio. Je ne pouvais pas trop le payer parce que j'avais tout cramé. J'avais toutes mes affaires dans ma voiture. J'avais une Smart, avec le petit coffre, et j'avais toutes mes affaires dedans." Depuis qu'il a sorti la tête de l'eau, il n'a jamais oublié cette période difficile. Ni ses parents d'ailleurs, toujours derrière lui pour s'assurer qu'il garde la tête sur les épaules. "C'est pour ça que mes parents sont toujours un peu en stress là-dessus. Ils se disent que ça peut tourner", a-t-il rapporté.