Après avoir placé son single parmi les dix meilleures ventes de titres aux USA, en quelques jours à peine, voilà que c'est la presse féminine qui recommence à faire confiance à la jeune chanteuse et comédienne révélée par Disney Channel et la série Sonny.
Le magazine Elle offre à Demi Lovato la couverture de son numéro de septembre et, échange de bons procédés, la jolie brune offre une interview confessions dans laquelle elle revient, une fois de plus, sur sa descente aux enfers, matérialisée par un internement en hôpital psychiatrique pour automutilation, troubles alimentaires et bipolaires.
"Quand on en arrive à frapper quelqu'un dans un avion, c'est qu'on a dépassé une certaine limite", confie-t-elle dans les pages du magazine féminin... En effet, Demi, c'est un bon signe que quelque chose ne va pas !
Ce quelqu'un, c'était d'ailleurs Alex Welch, l'une de ses danseuses qui était également une amie proche. "J'étais tout simplement perdue, l'été dernier. J'avais la pire des attitudes, et j'ai frappé Alex car elle m'avait trahie et je ne le supportais pas", raconte-t-elle ensuite.
Aujourd'hui, Demi a tiré un trait sur toutes les substances nocives qui l'ont détruites l'année dernière à la même période.
En témoigne le sticker présent sur son portable qui dit "Heroin killed the radio star", une référence au tube des années 80, Video killed the radio star, du groupe The Buggles. On le découvrait, mardi 2 août, sur son téléphone alors qu'elle était photographiée dans les rues de Los Angeles, sortant d'un salon de beauté pour regagner sa voiture.
Elle expliquait le message via son compte Twitter, ce week-end : "Ça fait à peu près un mois que j'affiche cet autocollant qui prône la sobriété. Je souhaite encourager la nouvelle génération à s'éloigner de toute substance susceptible de détruire l'organisme."
On en connaît une qui fait tout pour se réconcilier avec Disney...
Joachim Ohnona