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Son avocat le disait "ruiné", "gravement malade" et "alcoolique", incapable de travailler et d'assumer la pension alimentaire de ses enfants...
Dennis Rodman était alors le symbole de la décadence des joueurs NBA, millionnaires avant l'âge de raison, et qui pour la plupart se retrouvent fauchés et au bord de la faillite personnelle une fois leur carrière terminée. On pensait donc que celui que l'on surnommait The Worm, fantasque et imprévisible joueur des Pistons de Detroit et des Bulls de Chicago aux côtés de Michael Jordan et Scottie Pipen, était au bord de la rupture à 50 ans.
Mais visiblement, non. Une première vidéo, où l'on voyait l'ancien meilleur rebondeur de la NBA à 7 reprises et cinq fois champion de la Ligue gaspiller ses billets avait déjà semé le doute... Et que dire de son interview donnée ce week-end dans le Today Show de MSNBC ?
Dennis Rodman explique qu'il n'est "ni fauché, ni malade", souhaitant ainsi mettre un terme aux rumeurs selon lesquelles il aurait perdu des millions et serait au bord de la mort... "Oui, je paie une pension alimentaire. Je n'ai pas gagné autant d'argent qu'un Michael Jordan ou un Scottie Pippen (que l'on dit fauché, ndlr). J'ai gagné correctement ma vie en NBA, mais fauché ? Je ne suis pas fauché", s'est-il justifié, lui qui il y a encore quelques années courait la pige dans les pays nordiques d'Europe, dans d'obscurs clubs.
"Je ne suis pas malade. Les gens tiennent ce genre d'allégations à mon propos depuis 1995. 'Dennis fait beaucoup la fête, Dennis fait ci.' J'ai prouvé aux gens qu'ils se trompaient depuis le premier jour, et je continue de le faire aujourd'hui (...) Je vais bien. J'ai 50 ans, je sors et prends du bon temps, et la plupart des choses que je fais se font à travers le monde", a-t-il poursuivi, à l'image de sa participation au All Star Game qu'il a disputé ce week-end en Bulgarie...
Et alors qu'on lui demandait s'il avait peur de terminer tragiquement comme Amy Winehouse et Whitney Houston, la star a simplement répondu que ce n'était pas possible, car il n'avait "même jamais approché la cocaïne".
Une belle histoire de communication entre Dennis Rodman et son avocat...