L'Île de la tentation, c'était il y a déjà dix-huit ans pour Diana Jones, l'ex-compagne de Brandon. Bien des années ont passé, et pas mal de kilos se sont installés. Devant les caméras de TFX, l'ancienne strip-teaseuse, de son vrai nom Nadia Lalej, affiche une silhouette plus enrobée qu'en 2002 où elle faisait partie des stars de télé-réalité en pleine ascension. Explications sur sa prise de poids...
Il y a de cela une dizaine d'années, Diana a pris plus de 35 kilos en l'espace d'un an. Comme elle l'explique elle-même, la jolie brune désormais âgée de 50 ans est montée jusqu'à 93 kilos. "Là, je suis à 80 kilos", poursuit celle qui en pesait 49 lorsqu'elle a participé à L'Île de la tentation... "C'est très dur à assumer quand on prend du poids, surtout quand on a été médiatisée avec un poids parfait, lance Diana. Quand je vais à la plage, je mets un paréo. J'ai peur qu'on me prenne en photo en maillot de bain. Je sais que la prise de poids, la cellulite, c'est très vendeur. C'est comme un divorce, tout le monde en redemande."
Aujourd'hui, celle qui partage la vie de Julien, un ancien fan de dix-huit ans son cadet, est décidée à perdre ses kilos superflus. C'est pourquoi elle se rend trois fois par semaine dans une salle de sport de Marseille, où elle souhaite s'installer définitivement. "Je vais faire la paix avec mes jeans, parce que là, ils sont tous fâchés avec moi ! Les tailles 36, 38 et même 40, bye bye !", lance-t-elle.
Plusieurs parties de son corps la complexent, comme elle le confie. "La bidoche, donc le ventre. Et encore, là, j'ai beaucoup perdu. J'avais un bon ventre, on aurait dit que j'avais pris de la bière, déclare Diana. Un peu la culotte de cheval, un peu les cuisses. Heureusement, Kim Kardashian est là. Elle m'a sauvé la vie. Cette mode, pour moi c'est le top."
Mais cette prise de poids ne sort pas de nulle part. En réalité, Diana a eu des graves problèmes de thyroïde. C'est au retour de vacances que sa mère a tiré la sonnette d'alarme et l'a sommée, alors qu'elle "avait une sale tête", de faire des analyses. "En deux coups de téléphone, je me suis retrouvée aux urgences dans un hôpital très coté à Paris", se souvient la quinquagénaire. "Je ne voulais pas en parler à l'époque. Aujourd'hui, je peux parce que c'est rentré dans l'ordre, rassure-t-elle. Mais je n'avais pas envie de médiatiser ça, je suis restée trois ans à la maison, recroquevillée."
Enfin, pour conclure, Diana fait une mise au point : si elle se donne les moyens de maigrir, c'est avant tout pour elle. "Des gens m'arrêtent dans la rue pour dire 'Vous avez changé, vous avez grossi, vous avez vieilli'... Moi, je n'ai rien à prouver", lâche celle qui assure ne plus se soucier du regard des autres.