Divorce de Slash : Sa femme Perla pourrait récupérer la moitié de sa fortune !

Après treize ans de mariage, le guitariste des Guns N'Roses a finalement demandé le divorce à sa femme Perla Ferrar. Précipitant sa décision alors que la flamboyante rousse avait pris quelques jours de repos à Hawaï avec leurs deux enfants, Slash n'avait apparemment pas pensé qu'il risquait de perdre la moitié de sa fortune dans cette affaire !

Selon les informations du site TMZ, le couple n'avait pas signé de contrat de mariage en 2001, ce qui permet à la mère de ses deux enfants de demander la moitié de la fortune amassée par l'artiste américain depuis leur union. Ce qui représente un sacré pactole ! Car si elle ne peut prétendre à aucun des bénéfices engrangés par Slash avant leur rencontre, il ne faut pas oublier que le rockeur a sorti cinq albums depuis qu'il s'est engagé avec la jolie Cubaine, dont un en collaboration avec son groupe Guns N' Roses qui a été sacré double disque de platine... Autant dire que Perla devrait pouvoir empocher une jolie petite fortune avec cette séparation !

Toujours selon le site TMZ, Slash est à l'origine de cette nouvelle rupture. Le couple s'était une première fois séparé courant 2010 et le Londonien de 49 ans avait déjà commencé à remplir les papiers du divorce... avant de revenir sur sa décision. Cette fois, la séparation serait bel et bien consommée puisque le guitariste aurait retrouvé l'amour dans les bras d'une autre. Le musicien, qui a saisi la justice en citant des "différends irréconciliables", a précisé que leur rupture datait du 15 juin dernier. Il demande la garde de leurs deux enfants, London (12 ans) et Cash (8 ans), qui sont actuellement partis passer quelques jours de vacances à Hawaï avec leur mère, non loin de l'acteur Rob Lowe qui a sauvé quatre personnes de la noyade le 4 janvier dernier. Postant de nombreuses photos de son séjour sur l'île via son compte Instagram, la future ex-femme de Slash a apprécié ces quelques jours "au paradis", profitant de la présence de ses enfants "les seuls qui comptent vraiment", en se lamentant tout de même de "ne pouvoir calmer ses esprits".