C'est le premier invité de l'émission exclusive de Purepeople, En Privé avec.... Benjamin Castaldi s'est prêté au jeu d'un questions-réponses intimiste, n'évitant aucun sujet. Pas même celui de la procréation assistée. Papa de quatre enfants, il a accueilli d'abord l'arrivée de Julien, né en 1996, et Simon, né en 2000, fruits de son histoire passée avec Valérie Sapienza, puis Enzo, né en 2004 de sa relation avec Flavie Flament. Enfin il a goûté une nouvelle fois aux joies de la paternité avec Gabriel, qu'il a eu avec son actuelle compagne Aurore Aleman, et qui a vu le jour en 2020. Une paternité sur le tard qui n'était pas sans règles imposées.
Cette paternité sur le tard a en effet été un sujet entre l'animateur et sa compagne Aurore Aleman. Il reconnaît avoir été assez cash : "Alors ça, moi j'ai été très inquiet, j'ai été assez macho et je vais faire hurler tout le monde, mais je lui ai dit mon amour on a quasiment 10 ans d'écart, moi j'ai 50 ans, si je refais un enfant, je m'occupe quand j'ai envie de m'en occuper, je ne change rien à mon quotidien, je continue à aller au sport le matin, je fais ce que j'ai envie de faire, et je donnerai le biberon si j'ai envie." Des règles que la directrice de castings chez Endemol a acceptées. Et tout s'est parfaitement déroulé à en croire le fils de Jean-Pierre Castaldi.
"Elle a parfaitement respecté tout ça et tout naturellement je m'en suis beaucoup plus occupé, parce que j'avais pas de pression", fait-il savoir à notre journaliste. Ce petit Gabriel, qu'il assure être son mini-sosie, il en est totalement gaga. Pourtant, Benjamin Castaldi assure que cette paternité tardive était loin d'être une évidence pour lui. "Normalement, je devais pas faire d'enfant mais quand on aime une femme à la folie, et qu'elle vous aime à la folie, et qu'elle veut un enfant de vous c'est compliqué de lui refuser", confie-t-il.
Et cet amour n'a fait que grandir face au courage de celle qui partage sa vie, notamment lors de ce parcours de fécondation assistée. "On a perdu un enfant, évoque-t-il. Elle l'a perdu au début, elle était à deux, trois mois, et elle a surtout eu très peur de perdre le 2e. En fait, cette démarche de faire un enfant assisté, c'est des piqûres d'hormones, etc, c'est très courageux de faire ça pour une femme, c'est un vrai sacrifice."