Cela fait maintenant cinq ans qu'Eric Dupond-Moretti partage la vie d'Isabelle Boulay. Une relation qui évolue en toute discrétion, entre deux continents, puisque le garde des Sceaux vit à Paris, tandis que la chanteuse passe une partie de l'année au Québec. D'ordinaire si pudique sur cette romance, le ministre de la Justice s'est tout de même laissé aller à quelques confidences personnelles au détour d'une interview pour le magazine Gala du 23 septembre 2021.
Lors de cet entretien, Eric-Dupond Moretti est revenu, non pas sur ses démêlés judiciaires, mais sur ses origines et son histoire familiale. L'occasion pour lui d'évoquer l'absence de son père, décédé très tôt des suites d'un cancer, et sa relation avec sa "magnifique" mère italienne Elena, dont il est très proche. Mère et fils s'appellent d'ailleurs tous les matins à heure fixe : "Si j'ai le malheur de lui téléphoner plus tard, elle m'en fait grief. Ça n'est cependant pas une maman intrusive, elle est d'une grande discrétion, explique l'avocat et ministre de 60 ans." D'ailleurs, Elena n'a rien de "l'insupportable belle-mère" et "s'entend très bien" avec la compagne de son fils unique, lui-même papa de deux enfants, nés d'un premier mariage.
Pour ce qui est de sa relation avec Isabelle Boulay, il faudra se contenter de ça, puisque le garde des Sceaux ne s'étend pas davantage. Même les sorties publiques du couple se comptent sur les doigts d'une main. Sa dernière apparition remonte au début de mois d'août, lorsqu'il a pris part en toute décontraction au Festival de Ramatuelle.
Peu après le début de leur idylle, l'interprète de 49 ans avait confié qu'elle aurait préféré que cette histoire reste secrète : "J'ai toujours gardé la porte de mon intimité close. Une liaison, c'est fragile, précieux et périlleux, expliquait-elle dans les pages de Gala en 2017. De plus, je n'ai jamais voulu parler de mes amours, de peur que ça empêche mon public de se projeter dans mes chansons. Nous aurions aimé que notre relation reste un secret bien gardé, comme ça a été le cas pendant un certain temps, jusqu'à ce qu'on se fasse voler des photos. Ce qui n'est jamais très confortable."