Adil Rami est comme chez lui lorsqu'il arrive à la Maison Lutétia, un institut de médecine esthétique situé dans le 17e arrondissement de la capitale. Prisé par les plus grandes stars, de Lionel Messi à Kylian Mbappé, le lieu est réputé mondialement pour son expertise dans la greffe de cheveux. Ça tombe bien, puisque le jeudi 8 juin, le footballeur de 37 ans est venu pour bénéficier de cette expertise. Après avoir terminé son contrat avec le club de Troyes, qui est malheureusement descendu en deuxième division française, le compagnon de Léna Guillou a pris la décision de s'occuper de ses cheveux.
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'Adil Rami a recourt à une greffe de cheveux. "La première c'était il y a deux ans (...) ça commençait à s'affiner, à se dégarnir et je suis venu ici", raconte-t-il en exclusivité à Purepeople, avant d'ajouter que l'opération "s'est super bien passée". Venu pour s'occuper de la seconde zone, qui commence elle aussi à se dégarnir, ce dernier n'a pas voulu attendre trop longtemps pour agir. "Je suis dans l'anticipation. Je vais arrêter le football et je sais que pour moi, l'image va être très importante. Je ne vais pas attendre d'être chauve !", affirme le défenseur passé par l'Olympique de Marseille.
Je pense que je vais travailler à la télé ou à la radio et pour moi c'est important de me sentir bien
Très détendu pour cette journée un peu à part, Adil Rami a été pris en main par les équipes de la Maison Lutétia. La première étape consiste à extraire des greffons sur la partie arrière de son crâne, avant de les réimplanter dans la zone plus clairsemée. Comme beaucoup d'hommes, le défenseur commence à perdre ses cheveux et "c'est un complexe", comme il le confesse à notre micro. "Je pense que je vais travailler à la télé ou à la radio et pour moi c'est important de me sentir bien, pour pouvoir bien communiquer et montrer une belle image de moi et ce complexe je préfère l'éviter", ajoute l'ex de Pamela Anderson.
Le footballeur a décidé de parler ouvertement de sa greffe de cheveux, ce qui est plutôt rare de nos jours. "Je ne trouve pas que ce soit quelque chose de tabou. On a tous des complexes, ça fait partie de la vie. Je suis fidèle à moi-même et j'aime pas être formaté. Je ne vois pas pourquoi on cacherait ce genre de choses en sachant que ça touche énormément de monde", explique le champion du monde et heureux papa de jumeaux.
Après une journée forte en émotions, Adil Rami ressort une nouvelle fois satisfait de son expérience à la Maison Lutétia. "Ça s'est très très bien passé, on s'est très très bien occupé de moi (...) c'était une journée importante pour moi. C'est le début de la fin de mon complexe", conclut joliment le footballeur.
Preuve que les choses se sont bien passées, Adil Rami était le soir même à l'inauguration d'un restaurant dans la capitale (les photos sont à retrouver dans le diaporama). Débarrassé de son complexe, le beau gosse peut envisager l'avenir avec sérénité !
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