

La partenaire de Keen'V dans la quatrième édition de l'émission de danse de TF1 était particulièrement en beauté. Habillée d'une jolie robe bleu marine toute simple aux imprimés blancs et rouges, Fauve Hautot n'imaginait certainement pas au début de l'émission que sa tenue ferait son petit effet par la suite.
Revenant d'abord sur la révélation des salaires des danseurs par Silvia Notargiacomo, la partenaire de Titoff, la belle rouquine a préféré rester neutre. Sans infirmer ni confirmer qu'elle gagnait "la moitié ou les trois quarts" de 30 000 euros, Fauve Hautot s'est contentée de dire qu'elle appréciait que tous les danseurs aient le même salaire.
Celle qui a dansé avec Jean-Marie Bigard, Baptiste Giabiconi et fait gagner la troisième saison de Danse avec les stars à Emmanuel Moire a ensuite indiqué qu'elle aimerait faire un film comme ceux dans lesquels jouait Fred Astaire et que Keen'V, qui a remplacé à la dernière minute Dany Brillant, pourrait aller loin dans la compétition s'il avait davantage confiance en lui.
Mais ce qui a surtout marqué les esprits hier soir dans TPMP, c'est la démonstration de danse réalisée par Fauve. Lors d'une séquence intitulée Danse avec Gilles V (Gilles Verdez, journaliste et chroniqueur de l'émission), la rouquine s'est littéralement déchaînée, entraînant son partenaire de la soirée qui, il faut bien le reconnaître, n'était pas très doué. Dès les premiers pas, le journaliste et Fauve ont fait la paire et la belle danseuse, toujours encline à faire en sorte que ses élèves se surpassent, n'a pas hésité à s'agripper à Giller Verdez. Ce qui n'a pas manqué de soulever un peu sa robe... Visiblement un peu jaloux de ne pas être celui qui est au coeur de la danse, Cyril Hanouna a prié plusieurs fois les deux partenaires de s'écarter un peu. Mais c'était sans compter sur le zouk ou encore le cha-cha qui ont suivi !
Une chose est certaine, hier soir, dans Touche pas à mon poste, les hommes de l'assemblée n'ont pas lâché du regard la belle Fauve Hautot qui n'est pourtant plus un coeur à prendre.
Sarah Rahimipour