Mercredi 16 novembre sortira en salles Les Têtes de l'Emploi, une comédie réalisée par Alexandre Charlot et Franck Magnier (les scénaristes de Bienvenue chez les Ch'tis) qui tourne en dérision mais aborde autant de sincérité que de pertinence, la crise du chômage en France.
Lundi 14 novembre au soir, le film était présenté en avant-première au Gaumont Opéra de Paris. Un événement en grande pompe qui a réuni l'équipe du film mais également une flopée d'invités. Franck Dubosc, grand coup de coeur de ce long métrage engagé, a ainsi posé avec sa femme Danièle, lui déposant d'ailleurs un tendre baiser sur la tempe. Elsa Zylberstein , seule femme de ce trio de chômeurs, a elle aussi fait crépiter les flashs dans sa robe rose, avant d'être rejointe par François Xavier-Demaison , le troisième larron. Jean-François Cayrey, Charlotte Gabris et Patrick Bouchitey étaient également de la partie.
L'histoire du film : Stéphane, Cathy et Thierry sont les meilleurs employés de l'Agence pour l'Emploi de leur ville. Mais leurs résultats sont tellement bons que l'agence va devoir fermer faute de chômeurs ! Les trois collègues ont alors la folle idée de créer du chômage pour sauver leur poste.
Pour assister à la première du film, de nombreux invités ont répondu à l'appel. Frédérique Bel, très élégante dans une robe grise, était au côté de Marco Prince, Mathilde Seigner était de nouveau de la partie avec son compagnon Mathieu Petit. Claude Lelouch a été croisé en compagnie de sa compagne Valérie Perrin, tout comme l'ex-footballeur Olivier Dacourt, vu avec sa femme Stéphanie. Olivier Dahan, les réalisatrices Laetitia Colombani et Lisa Azuelos, Abel Jafri, Philippe Lacheau et Tarek Boudali, Virginie de Clausade et son mari Dimitri Storoge, Hermine de Clermont-Tonnerre, Géraldine Maillet ou encore Malika Ménard étaient présents, tout comme Alix Benezech, Sarah Lelouch et son mari David Marouani, Yamina Benguigui ou encore Dove Attia.
Une bonne partie de ces spectateurs se sont ensuite retrouvés au Buddha-Bar pour une after-party détendue – et tout en contraste avec la thématique du film.