Gilles Bouleau, présentateur du JT de 20h de TF1 en semaine, succédait à Laurence Ferrari (dont il était le joker) à ce poste en 2012. Depuis son arrivée, il a lentement mais sûrement su redresser la courbe des audiences, avec son style qui n'est pas sans rappeler celui de Dominique Bromberger en son temps. Ex de la matinale de LCI, c'est sur la chaîne info du groupe TF1 qu'il a fait ses armes à la fin des années 90.
Invité sur le plateau de la Médiasphère, le rendez-vous consacré à l'actualité des médias sur LCI, le journaliste a fait face à une image d'archive peu conventionnelle sur laquelle on le découvre lors d'un duplex à Cannes - mais hors antenne - se moquant allègrement de la tenue que les stylistes lui ont louée. Tout est à refaire. Même le pantalon, bien trop grand, se fait la malle...
On le découvre donc raillant la marque du smoking qu'il porte (Béral), plaisantant même sur ses "chaussettes trouées", alors qu'il est sur le point d'interviewer Joel et Ethan Coen, lauréats de la Palme d'or cette année-là pour Barton Fink. Gilles Bouleau, que l'on sait très sérieux pour les besoins de la grand-messe du 20 heures, se révèle alors être un joyeux luron, animé par la seule volonté d'amuser ses camarades de tournage.
De retour en plateau, celui qui vient d'être élu Homme de l'année par GQ se souvient de ce moment si embarrassant : "Je ne savais même pas que ça existait. (...) On n'avait qu'une seule taille de smoking, en polyester, pas trop cher, loué", révèle-t-il. Et si les tailles ne convenaient pas, on devait faire avec. "On portait ça avec des pinces à linge. Et on poursuivait les frères Coen, qui avaient eu la Palme d'or, et les pinces à linge sautaient ! (...) C'est accablant ! Il faut détruire la cassette !", a-t-il conclu, plein d'humour.
Joachim Ohnona
Invité sur le plateau de la Médiasphère, le rendez-vous consacré à l'actualité des médias sur LCI, le journaliste a fait face à une image d'archive peu conventionnelle sur laquelle on le découvre lors d'un duplex à Cannes - mais hors antenne - se moquant allègrement de la tenue que les stylistes lui ont louée. Tout est à refaire. Même le pantalon, bien trop grand, se fait la malle...
On le découvre donc raillant la marque du smoking qu'il porte (Béral), plaisantant même sur ses "chaussettes trouées", alors qu'il est sur le point d'interviewer Joel et Ethan Coen, lauréats de la Palme d'or cette année-là pour Barton Fink. Gilles Bouleau, que l'on sait très sérieux pour les besoins de la grand-messe du 20 heures, se révèle alors être un joyeux luron, animé par la seule volonté d'amuser ses camarades de tournage.
De retour en plateau, celui qui vient d'être élu Homme de l'année par GQ se souvient de ce moment si embarrassant : "Je ne savais même pas que ça existait. (...) On n'avait qu'une seule taille de smoking, en polyester, pas trop cher, loué", révèle-t-il. Et si les tailles ne convenaient pas, on devait faire avec. "On portait ça avec des pinces à linge. Et on poursuivait les frères Coen, qui avaient eu la Palme d'or, et les pinces à linge sautaient ! (...) C'est accablant ! Il faut détruire la cassette !", a-t-il conclu, plein d'humour.
Joachim Ohnona
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