Les âmes se lient et se séparent dans l'émission L'amour est dans le pré. Certaines histoires s'achèvent devant les caméras, d'autres persistent, durent, comme celle qu'écrivent actuellement Guillaume et sa Noëmie, deux candidats emblématiques de la 17e saison du programme. Après avoir invité deux prétendantes à venir visiter son exploitation, l'ancien facteur a laissé son coeur et son corps parler... et il continue de le faire. Comme on peut le voir sur les réseaux sociaux, les tourtereaux sont toujours ensemble, et ils sont mêmes prêts à passer à l'étape supérieure. Qu'importe ce qu'en disent les mauvaises langues.
Parfois accusée d'un certain manque d'honnêteté, Noëmie se fiche du regard d'autrui et aime, ouvertement, son Guillaume. Sur son compte Instagram, l'employée de mairie a même partagé une photographie capturée lors d'un moment intime, alors qu'elle était sur le canapé avec son chéri, et que celui ne portait pas grand chose sous la couette. "La vraie vie ! Je t'aime au quotidien", écrit-elle (voir le diaporama). Cette image signifierait-elle que les amoureux ont aménagé ensemble ? L'éleveur de vaches allaitantes a, après tout, récemment offert une clé à sa dulcinée pour qu'elle vienne s'installer avec lui. Elle avait même dit "oui", au mois de novembre dernier. Mais depuis ?
Toujours pas séparés ?
Il y a eu quelques allers-retours dans leur couple, certes, mais qui peut se venter de vivre une romance sans aucune ombre ? Plus amoureux que jamais malgré la distance, Guillaume et Noëmie profitent de chaque instant passé ensemble. Mais ce week-end là, c'est sans qui Guillaume que Noëmie s'est rendue à Disneyland Paris.
Très active sur les réseaux et n'ayant pas sa langue dans sa poche, Noëmie n'a pas peur de répondre à ses détracteurs. Sous la dernière photo qu'elle a partagée sur Instagram, on trouve de nombreux messages très positifs, mais aussi une question un peu déplacée : "Toujours pas séparés ?". Ce à quoi la jeune femme a répondu, en tout franchise : "Désolée de vous décevoir". Qu'importe les "qu'en dira-t-on"...