Parce qu'ils formaient un irrésistible duo, ils ont volé la vedette à Jennifer Lawrence. Jeudi 5 novembre, Londres et son temple des grandes premières, l'Odeon Leicester Square, déroulaient le tapis rouge pour l'équipe du film Hunger Games : La Révolte – Partie 2. L'un des plus beaux red carpets de l'année, largement marqué par Sam Claflin et son épouse Laura Haddock, enceinte...
À 29 ans, l'acteur anglais, également croisé dans le film Love, Rosie, va être papa pour la première fois. Plutôt que de l'annoncer par un communiqué, c'est à cette grande soirée que l'interprète de Finnick Odair dans la saga Hunger Games a préféré l'officialiser. Accompagné de son épouse, le comédien semblait follement amoureux de sa belle et très heureux. Arborant un large sourire, Sam Claflin affichait sa tendresse sans borne pour Laura Haddock, une belle Anglaise avec qui il est marié depuis 2013. "Ma femme Laura est indéniablement ma meilleure amie également. On s'est rencontrés lors d'une audition pour My Week With Marilyn et ce fut une étincelle, confiait l'an dernier le comédien britannique. Il se trouve que nous avions le même agent et que le lendemain matin, on se croisait à nouveau dans le métro. Je ne savais rien d'autre que son nom, qu'elle était très attirante et qu'elle semblait adorable. Je suis rentré chez moi, j'ai appelé mon pote à 7h du matin et je lui ai dit, 'je viens juste de rencontrer la femme que je veux épouser. J'aime cette fille, genre, je l'aime vraiment. Elle est parfaite." Et c'est aussi éperdu d'amour que protecteur qu'il a posé ce jeudi soir à Londres avec sa belle, glissant délicatement sa main sur le ventre déjà bien rond de sa chérie habillée en Burberry.
De quoi faire crépiter les flashs et soupirer ses fans, entre admiration et envie. Il faut dire que l'acteur, en plus d'être beau gosse, s'est imposé comme un véritable héros à l'écran, un rebelle, fidèle au Geai Moqueur qu'incarne Katniss Everdeen (Jennifer Lawrence). Et ce n'est pas ce dernier volet, que l'on a déjà pu voir en avant-première, qui vous dira le contraire...