Isabelle Caro est décédée le 17 novembre dernier et a été enterrée dans la plus grande discrétion et intimité afin que les membres de sa famille puissent faire leur deuil, loin des médias. De nouveaux témoignages viennent apporter une autre lumière sur sa disparition, que l'on pensait liée à un problème pulmonaire...
Cette semaine, le magazine Grazia en kiosques revient sur la disparition tragique de la jeune Française de 28 ans, qui luttait contre l'anorexie depuis son adolescence et qui avait décidé de mettre sa triste maladie au profit des autres dans une campagne publicitaire No-l-ita. "Isabelle est morte d'anorexie. Ce n'est ni une pneumonie, ni un suicide. Elle est morte d'anorexie comme on meurt du Sida. Elle était épuisée. Son corps a dit stop", témoigne Kim Warani, une amie de Isabelle rencontrée au cours Florent, et qui se livre dans le magazine Grazia.
Et de poursuivre : "Elle est tombée dans le coma quelques jours après son retour du Japon. (...) Son état a rapidement empiré".
Sylvie Fabregon, son ancien agent, a ajouté qu'Isabelle avait perdu sa grand-mère au mois de mars et que "dès que quelque chose clochait, elle reperdait du poids". Cet été, la jeune femme avait effectivement été hospitalisée pour une pneumopathie, mais était ressortie encore plus fragile.
Fille d'un papa célèbre dont on ne connait pas l'identité, Isabelle Caro est dépeinte comme une femme très fragile, qui selon les témoignages recueillis par le magazine féminin, ne pesait pas les 42 kg qu'elle assurait en début d'année 2010...
Dans son autobiographie, La petite fille qui ne voulait pas grossir, Isabelle Caro rappelait que sa mère dépressive avait fait d'elle "son obsession comme mon poids la mienne". Une obsession qui aura eu, malheureusement, le dernier mot...