C'est une nouvelle bouleversante et déchirante que nous avons apprise le 6 novembre 2019. Cayden (qui aura bientôt 9 mois), le fils de Jazz et de son mari Laurent, a été hospitalisé en urgence il y a quatre jours. Des rumeurs de noyade sont vite sorties dans les médias. Pour la première fois, la candidate de télé-réalité de 27 ans s'est exprimée sur ce drame, sur Snapchat, ce jeudi 7 novembre. Sans surprise, c'est les larmes aux yeux qu'elle a donné tous les détails à ses abonnés.
"Coucou tout le monde. Je ne sais pas par où commencer. Premièrement, je suis très fatiguée. J'ai passé les pires jours de ma vie et à la fois, c'était le plus beau jour de ma vie hier. J'ai passé quatre jours à vivre un ascenseur émotionnel. Entre me jeter par terre à hurler pour que Dieu me vienne en aide pour mon fils, à pleurer toutes les larmes de mon corps, à être la plus heureuse en apprenant de bonnes nouvelles...", a tout d'abord confié Jazz.
Après s'être interrogée sur l'identité de la personne qui aurait pu faire fuiter cette affaire, la belle brune a expliqué comment l'accident de Cayden avait changé sa vie : "Tout ce que j'ai, c'est superficiel. Gagner de l'argent, avoir de belles voitures, on s'en bat les couilles. On a déjà tout ce qu'il faut : de magnifiques enfants, une famille, des amis incroyables, de quoi manger et se loger. Malheureusement, on veut toujours plus, mais pourquoi ? Alors que tout ce dont on a besoin est devant nous. Je m'en suis beaucoup remise à Dieu, chose que je ne fais pas souvent dans ma vie. J'ai été tellement démunie, malheureuse, j'avais l'impression qu'on m'arrachait le coeur", a-t-elle raconté, les larmes aux yeux. Jazz s'est rendu compte que son fils aurait pu mourir et elle a donc remis toute sa vie en question. Elle voulait simplement que Cayden s'en sorte et, heureusement, le petit frère de Chelsea (2 ans) va mieux aujourd'hui : "C'est un guerrier, il est trop fort. Je ne l'ai pas lâché. J'ai passé quatre jours à ses côtés à l'hôpital. Jusqu'à mon dernier souffle, j'allais me battre pour mon fils. Je me sens tellement mieux, vous ne pouvez pas imaginer. On est en soins intensifs depuis quatre jours."
Ce n'est qu'après ces déclarations que Jazz a révélé ce qu'il s'était passé. Le drame a eu lieu pendant un jour de tournage de la saison 2 de la JLC Family, aux alentours de 8h45. "On n'était pas en train de faire des placements de produits, a précisé Jazz, Cayden était dans notre maison avec tout le monde sur un trotteur. Et pour quelle raison, je ne sais pas, la baie vitrée était ouverte. Il est parti en trotteur pour suivre le chien probablement et il est tombé dans la piscine. (...) Laurent s'est vite aperçu que son fils n'était pas dans le salon. Il l'a cherché partout et l'a vu dans la piscine. Ça a été un superhéros. Il a sauté dans l'eau, il a récupéré son fils et a tout fait pour le ramener à la vie. Il a fait les premiers gestes de secours. Le neurologue nous a dit que si Laurent n'avait pas fait les premiers soins à la perfection, Cayden ne serait jamais en vie. Laurent a sauvé son fils."
Quand elle a entendu tout le monde crier, Jazz s'est doutée qu'il y avait un problème avec l'un de ses enfants. Les urgences sont très vite arrivées et ensuite, "tout est allé très vite". Grâce à Dieu, Cayden respire aujourd'hui, "son coeur bat et son cerveau n'est pas touché alors qu'il n'y avait plus d'oxygène dedans". Bien entendu, Laurent et son épouse ont pris la décision d'arrêter le tournage de leur émission de télé-réalité. Ils ont également "pris de grandes décisions", dont ils parleront en temps voulu.
"On a reçu des messages disant qu'on était des parents indignes parce qu'on n'a pas de sécurité autour de notre piscine. Quand je rentrerai chez moi, je vous montrerai que vous êtes des mauvaises langues. Il y a un store électrique, mais il venait d'être ouvert parce que le tournage commençait. C'est juste de la méchanceté gratuite, mais je n'en ai rien à foutre, car ça ne vaut plus rien. (...) Je vous demande des prières et des gentillesses envers mon fils. Je vous demande de nous laisser tranquilles, car personne ne mérite de vivre un tel cauchemar", a-t-elle conclu.