Entre Jeffree Star et les Kardashian/Jenner, c'est une longue histoire de rivalité et de coups bas. Habitant dans la même petite ville de Calabasas (Hidden Hills), le maquilleur professionnel et la célèbre famille se détestent. L'année dernière, notamment, le youtubeur américain révélait que "tout le monde savait" depuis "des mois" que Tristan Thompson trompait Khloé Kardashian avec Jordyn Woods, tout en détruisant quelques semaines après la gamme Kylie Skin dans une vidéo acerbe (qui culmine à 30 millions de vues).
Le drama est loin de s'arrêter. Après déjà plusieurs live problématiques, Mason Disick (le fils de Kourtney Kardashian et Scott) a réussi à encore faire parler de lui. Hier, un compte fan des Kardashian a publié une vidéo issue d'un ancien live, daté d'avant que sa mère ne supprime son compte. Dedans, il y dit : "Jeffree Star est genre, trop gâté."
Dans un tweet désormais supprimé, Jeffree Star a directement répondu à Mason, sur Twitter : "J'avais 500 dollars dans mon compte en banque il y a six ans... Peut-être qu'il confond avec ses propres privilèges, parce que je me suis fait tout seul. J'espère que son père pourra l'éduquer rapidement !" Ouch.
Notons toutefois que Jeffree Star était connu il y a désormais plus de dix ans. Ultrapopulaire sur MySpace, il avait cartonné avec deux albums : Beauty Killer (2009) et Cupcakes Taste Like Violence (2008). Mais sa popularité était retombée, il avait alors connu une sombre période financière avant d'investir ce qu'il lui restait dans sa marque de maquillage, qui l'a aujourd'hui rendu très riche.
Ni Scott ni Kourtney n'ont encore répondu à cette petite pique de Jeffree Star. Ce tweet fait écho à une autre polémique datant d'il y a un an. Quand Kylie Jenner - patronne de la marque Kylie Cosmetics, principal concurrent de Jeffree Star Cosmetics - a fait la couverture de Forbes, le magazine disait qu'elle était la première "milliardaire à s'être faite seule". Jeffree Star, avait alors écrit ce tweet depuis supprimé : "J'ai refusé de faire la couverture, alors ils ont dû choisir quelqu'un d'autre..."