Carton rouge pour Jenifer ? Selon les informations rapportées jeudi 2 février par le site Closer, la chanteuse de 34 ans aurait en effet été convoquée d'urgence par les autorités après qu'un homme aurait déposé plainte pour agression. Lundi 30 janvier, celle qui est également actrice s'est donc rendue au commissariat du 1er arrondissement de Paris avec son compagnon pour être entendue "plusieurs heures durant".
Placé en garde à vue, le couple a ensuite été remis en liberté sur décision du parquet, qui a renvoyé l'affaire au pénal. Jenifer et son petit ami devront donc répondre de ces faits très prochainement, une audience correctionnelle ayant été fixée "dans les semaines à venir". Selon le plaignant, Jenifer et son compagnon s'en seraient pris à lui en le "secouant" alors qu'il tentait de les prendre en photo. Les accusés restent néanmoins présumés innocents des faits qui leur sont reprochés jusqu'au jugement définitif de cette affaire.
Suite aux révélations de Closer, Jenifer s'est finalement exprimée sur son compte Instagram jeudi soir (2 février) pour rassurer ses fans et répondre à ses détracteurs. "Tout va bien et je ne suis pas en garde à vue ;) !!! Cela va trop loin. C'est épuisant ces rats, leurs traques et leurs agressions permanentes."
En juillet 2008, la maman d'Aaron (13 ans) et Joseph (2 ans et demi) avait déjà brièvement été placée en garde à vue pour des faits similaires. Le Parisien avait à l'époque révélé que la chanteuse se trouvait au côté de Pascal Obispo lorsqu'une altercation avec un photographe avait eu lieu devant un restaurant du 6e arrondissement de la capitale. "Si agression il y a eu, seule Jenifer, harcelée physiquement par un paparazzi, en a été victime. Pascal Obispo n'est intervenu que pour la protéger et écarter d'elle un homme manifestement violent", avait affirmé dans un communiqué transmis à l'AFP Me Nathalie Dubois, l'avocate qui représentait alors les deux artistes.
Il y a quelques mois, Jenifer s'était épanchée, dans une interview accordée au quotidien Le Parisien, sur la difficulté de vivre au quotidien en étant harcelée par des photographes : "Les journalistes vont commenter des images et vont romancer bêtement comme un roman photo, en ne se rendant pas compte parfois des conséquences et je subis ça, disait-elle alors. J'aimerais ne plus en faire partie, de plus je trouve ça terriblement cheap de faire 4 couv' par mois, je n'ai pas envie d'y être (...) C'est pas grave, mais c'est douloureux d'être suivie en permanence. Mais je pense que personne ne peut comprendre ça."