A partir de ce jeudi 1er juin, avec les trois premiers épisodes, France 3 rediffuse la série Jugée coupable qui retrace l'histoire de Lola Brémond, une jeune femme au passé mystérieux. Programme dans lequel Jérôme Anger tient un rôle. L'occasion de s'intéresser à l'acteur, et notamment à sa vie sentimentale, lui qui a vécu deux belles relations avec deux femmes qui exercent le même métier que lui.
A commencer par Isabelle Silvestri, qui est devenue la mère de ses trois aînés : Alexandre (né en 1985), Emma (née en 1987) et Magda (née en 1991). Une comédienne qui a notamment été aperçue dans le long-métrage Pauvre Richard ! paru en 2013, mais qui se montre extrêmement discret au quotidien. Les informations la concernant sont donc extrêmement rares.
Je les adore
Difficile alors d'en savoir davantage sur leur relation. Ce que l'on sait en revanche, c'est qu'ils se sont séparés puisque par la suite, Jérôme Anger a fait la rencontre, sur le tournage de la série culte Julie Lescaut à la fin des années 1990, de la célèbre actrice Claire Borotra. Avec cette dernière, qui a pour rappel été révélée auprès du grand public par la saga de l'été de 2003 sur TF1 Le Bleu de l'océan où elle incarnait l'héroïne Talia Varga, l'acteur a eu deux autres enfants : Alaïs (née en 2001) et Arthur (né en 2008).
Ils se sont donnés la réplique sur plusieurs tournages, ce qui a ainsi consolidé leur relation, comme l'expliquait le comédien dans un entretien accordé au média Ici Paris en 2009 : "Quand on produit, ce sont des tensions extrêmes. Claire et moi, on se répartit les tâches. En l'occurrence pour Vive les vacances (TF1), c'est elle qui a écrit le scénario". Une interview au cours de laquelle il avait également été amené à s'exprimer sur son rôle de père, lui qui est donc à la tête d'une belle fratrie. "Quel genre de papa je suis ? Certainement pas à la hauteur de la tâche, mais je les adore !", expliquait-il avec modestie, décrivant ensuite ses enfants comme ses "petits bonheurs permanents". De tendres confidences de la part de l'acteur.
