Jon Wellner de la série Les Experts, sur son compte Twitter le 13 janvier 2015© Twitter
Les divorces se passent rarement bien, mais pour certains, cela peut même carrément virer au cauchemar. Et la rupture entre Jon Wellner et sa femme Whitney semble bien partie pour suivre ce chemin. L'acteur américain de 39 ans a demandé le divorce à celle qui partageait sa vie depuis plus de sept ans. Plus connu pour son rôle de toxicologue dans la série télévisée Les Experts, il n'y est pas allé de main morte pour dresser un portrait peu flatteur de sa future ex-femme.
Le toujours bien informé TMZ s'est procuré les documents légaux dans lesquels figure la requête explicite de Jon Wellner : il demande au juge chargé de l'affaire de s'occuper personnellement de la reconversion professionnelle de son ex. Selon lui, la jeune femme n'a jamais réussi à décrocher un job d'actrice et n'y arrivera probablement jamais parce qu'elle n'est tout simplement pas assez talentueuse. L'acteur charge donc la cour de lui trouver un job à temps plein afin qu'elle puisse subvenir seule à ses besoins.
Pour sa défense, Whitney Wellner a argué du fait qu'elle avait joué dans le film Save the Last Dance en 2001 puis dans un épisode des Experts. Un argument sur lequel Jon Wellner n'a pas manqué de rebondir en expliquant qu'elle n'avait obtenu le rôle que par "népotisme", autrement dit parce qu'il l'avait pistonnée. Bien décidée à ne pas se laisser faire, l'aspirante actrice a répondu que si son mari l'avait à l'époque recommandée pour le rôle, c'était qu'il estimait qu'elle avait les capacités nécessaires pour pouvoir jouer dans la série à succès.
Une bataille judiciaire qui n'est pas sans intérêt pour Whitney Wellner : la jolie brune espère bien se voir attribuer une pension alimentaire sans laquelle il lui serait difficile de vivre. Précisant que son futur ex-mari empoche près de 20 000 dollars par épisode, elle s'est plainte que son salaire à elle ne dépassait pas les 12 dollars par mois. Nul doute que son train de vie risquerait de changer radicalement si le juge n'abondait pas dans son sens...
Coline Chavaroche
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