Le monde est bien plus petit que ce que l'on pense, particulièrement quand on évolue dans le milieu du show business. Les couples se font et se défont, les partenaires changent et les anciennes histoires d'amour se transforment en belles et solides amitiés. Françoise Hardy en est un bel exemple. La chanteuse de 78 ans a partagé la vie du photographe Jean-Marie Périer avant de tomber sous le charme de Jacques Dutronc, devenu son mari par la suite.
Leur romance, Françoise Hardy a préféré y mettre un terme, ne supportant plus la souffrance provoquée par les nombreuses périodes de séparation du couple. Elle a donc refait sa vie avec l'interprète de J'aime les filles, eu un fils avec lui, Thomas. De son côté, Jean-Marie Périer a refait sa vie avec l'animatrice et cuisinière Julie Andrieu. Si tout ce petit monde aurait pu se déchirer dans les médias ou se détester en privé pour des raisons évidentes, il n'en est rien. Françoise Hardy, Julie Andrieu et Jean-Marie Périer s'entendent à merveille. Le photographe l'a prouvé une nouvelle fois en dévoilant un vieux cliché du trio complice lors d'une première.
Jean-Marie Périer n'est pas peu fier de prendre la pose entre deux des femmes de sa vie lors du spectacle de Henri Salvador, son papa décédé en février 2008. Françoise Hardy pose un regard tendre sur la jeune Julie Andrieu qui scrute l'objectif pendant que Jean-Marie Périer, plus heureux que jamais, affiche un sourire XXL à leurs côtés.
S'il se soucie autant de ses deux ex, Jean-Marie Périer semble être un peu plus inquiet pour Françoise Hardy ces derniers temps. Il faut dire que la chanteuse, atteinte d'une longue maladie, a très souvent affirmé sa position concernant l'euthanasie. L'artiste a toujours déclaré qu'elle préférait choisir le moment de sa mort plutôt que de devenir un fardeau pour sa famille et ses proches.
En légende, Jean-Marie Périer semble la soutenir en dévoilant un texte en faveur de l'euthanasie, l'un des débats sociétaux du moment : "Je ne veux pas vieillir au point de me retrouver entre les mains de personnes étrangères, même les plus attentionnées. Ne plus être autonome, ni décisionnaire, ça me terrorise, alors qu'être mort ? S'endormir un soir et ne pas se réveiller, franchement je ne vois pas le problème. [...] Je ne vois pas bien l'intérêt de mettre son entourage dans l'obligation de supporter un vieux qui voudrait partir. Je n'ai pas demandé à venir sur Terre, alors s'il vous plaît, qu'on ne m'empêche pas de partir quand je le voudrai." Des mots poignants que Françoise Hardy a dû saluer derrière son écran...