Après avoir déjà été accusé d'être une catastrophe environnementale pour l'Islande en mars dernier, Justin Bieber se retrouve aujourd'hui dénoncé par PeTA (People for the Ethical Treatment of Animals). Dans un communiqué publié par Page Six, le 3 octobre 2019, l'organisation de défense des animaux accuse le chanteur de contribuer à la "surpopulation animale".
Il y a quelques jours, l'interprète de 25 ans et sa nouvelle épouse Hailey Bieber ont adopté deux chats Savannah, une race hybride descendant du serval dont l'élevage est limité aux États-Unis. Un frère et une soeur appelés Sushi et Tuna, pour lesquels ils ont tout de même déboursé près de 32 000 euros en les achetant à un éleveur de l'Illinois. "Justin Bieber pourrait inspirer ses fans partout dans le monde à sauver une vie en adoptant un chat dans un refuge local, plutôt que de contribuer à la crise de la surpopulation animale et prouver que lorsqu'il s'agit d'aider les animaux, sa position jusqu'à maintenant est 'Je m'en fiche'", a commenté la vice-présidente de PeTA dans un communiqué relayé jeudi.
À en croire le nouveau compte Instagram qu'il a créé pour ses nouveaux compagnons exotiques, le chanteur semble plutôt ravi de son investissement. En seulement six jours d'existence, le compte cumule déjà 33 publications et plus de 210 000 abonnés, visiblement séduits par les deux boules de poils. Le couple possède également deux chiens, des yorkshires baptisés Oscar et Esther.
Ce n'est pas la première fois que la passion de Justin Bieber pour les animaux exotiques fait la une. Jusqu'en 2013, il possédait un petit singe capucin reçu en cadeau d'anniversaire et appelé OG Mally. Mais l'animal a été saisi par les autorités allemandes après que la star a voulu l'emmener avec lui à Munich dans son jet privé et ce, sans aucune autorisation. Il ne l'a jamais récupéré.
En mars 2019, Justin Bieber s'était déjà retrouvé accusé d'être une menace environnementale après avoir tourné son clip I'll Show You en Islande en 2015. L'Agence environnementale du pays avait expliqué que la forte augmentation de la fréquentation touristique dans le canyon Fjaðrárgljúfur mettait le site naturel en danger, au point de devoir le fermer au public pour plusieurs mois.