Outre David Guetta, on retrouve Boyz Noize et Will.i.am à la production. Ce dernier a d'ailleurs signé l'artiste sur son propre label, c'est dire s'il lui fait confiance. La sauce prend parfaitement et c'est une Kelis réinventée qui exploite à fond la carte de l'hybride entre la déesse animale et la femme, la chanteuse et la performeuse - une imagerie mise en image par Rankin dans le clip (too much) d'Acapella.
Pour le second single, Kelis a choisi le très dansant 4th of july (fireworks). Pour le clip, elle fait de nouveau appel à Rankin qui la met en scène au coeur des quatre éléments (eau, air, terre et feu). Elle y apparaît moins étrange, plus simplement, en plein coeur du désert californien. Finies les tenues trop extravagantes, Kelis se pare de voiles d'or et nous rappelle combien c'est une très jolie fille.
Quant à la chanson, elle donne juste envie de faire la fête... après son divorce difficile d'avec Nas, on comprend mieux pourquoi !