Faute avouée, à moitié pardonnée ?
Selon plusieurs médias, Kim Kardashian a officiellement reçu des excuses publiques de la part de MediaTakeOut.com, qui l'avait accusée d'avoir mis en scène son braquage parisien du 3 octobre dernier. Suite à ces propos diffamatoires, dans un communiqué transmis à la presse, le site internet est ainsi revenu sur ses dires en souhaitant un "bon rétablissement" à la star de télé-réalité. "Après avoir discuté avec plusieurs sources, notamment avec des proches de la famille Kardashian, et après avoir obtenu plus de détails sur le déroulé des événements, nous sommes désormais certains et croyons sans aucun doute que Kim Kardashian a bien été braquée, comme le stipulait la police de Paris. Quiconque met en doute cette version a tort. Nous pouvons comprendre que les articles mettant en doute cette agression peuvent être blessants, et c'est pour cette raison que nous nous excusons", peut-on lire.
Kim est une personne, une épouse et une mère, elle ne méritait pas ça
La semaine passée, le site MediaTakeOut.com avait rédigé trois articles qui affirmaient que l'épouse de Kanye West avait orchestré son agression pour s'attirer l'attention des médias. L'avocat de la star de 35 ans, Jean Veil, s'était alors exprimé auprès de BFMTV vendredi pour défendre sa cliente et donner de ses nouvelles : "Elle est assez perturbée par le fait qu'en même temps qu'elle a été agressée, il y a quelqu'un qui prenait une vidéo et que les commentaires sur la vidéo, au prétexte qu'elle était relativement calme, soutiennent que tout cela ne serait qu'une espèce de canular ou une affaire montée. Ce sont des propos diffamatoires, dont elle ne peut pas tolérer qu'ils persistent."
Coincé dans sa propre médisance, MediaTakeOut.com n'a pas simplement présenté des excuses à Kim K mais a également tenu à lui souhaiter d'aller mieux. "Personne ne mérite de traverser une expérience aussi traumatisante. Kim n'est pas une simple célébrité, elle est une personne, une épouse et une mère qui ne mérite en aucun cas ce qui lui est arrivé. Nous lui souhaitons le meilleur tandis qu'elle se remet émotionnellement de cet incident traumatisant", concluent ainsi les fautifs.
S.L.