A la tête d'une célèbre marque de cosmétiques, Kylie Jenner n'est pas vraiment connue pour être une patronne passionnée. Selon un article publié par le tabloïd The Sun US, mercredi 14 juillet 2021, il semblerait que les conditions de travail de ses employés soient tout bonnement désastreuses. En effet, le média a rapporté, mercredi 14 juillet 2021, que l'entreprise Spatz Laboratories (qui emballe les produits de sa marque Kylie Cosmetics) imposerait des conditions de travail difficiles...
Toutefois, il est important de rappeler que la jeune star déjà accusée de harcèlement n'a pas vraiment le monopole des conditions de travail de ses usines. En effet, selon le témoignage d'une ancienne employée, Irene Lopez, il semblerait que la fille et l'ex de Caitlyn Jenner ne va dans les lieux de confection des produits que lorsqu'elles a des "choses à filmer pour leurs réseaux sociaux". Hormis ces rares visites, la jeune femme n'est donc jamais sur place et ne peut donc pas veiller à ce que ses employés soient bien traités. Mais lorsque Kylie et sa mère étaient de visite, Irène a partagé les différentes consignes qui lui étaient données par ses supérieurs. "Vous n'avez pas le droit de leur parler, vous devez travailler, vous n'avez pas le droit de prendre des photos ou de poser des questions", a-t-elle raconté. Un témoignage complété par celui de Martha Molasco, une autre ancienne employée de Spatz Laboratories, qui a ajouté : "Nos managers nous disaient : 'Ne leur parlez pas, ne pensez même pas à les regarder.'" De quoi démotiver les potentiels futurs employés souhaitant connaître la maman de Stormi en personne.
Toutefois, outre les différentes remarques et les menaces verbales d'être constamment remplacée, Martha a confié se sentir complètement dégradée dans son cadre de travail. "J'essaye de faire de mon mieux et j'ai quand même quelqu'un qui me crie dessus devant tout le monde", a-t-elle partagé. Au début de son contrat, ses horaires étaient de 16 h à minuit puis, ils ont changé pour être de 16 h jusqu'à 4 heures du matin. Une journée de travail de 12 heures, qui étaient bien évidemment payée, mais durant laquelle les travailleuses ne se sentaient pas "appréciées". "Avec les insultes verbales, et les journées de 12 heures de travail, la plupart des personnes ont démissionné ou sont parties d'elles-mêmes, car c'était trop", a-t-elle expliqué ensuite.
Mais en plus de toutes ces conditions déjà difficiles à supporter, Irène s'est ensuite épanchée sur d'autres détails plus "horribles". Elles étaient parfois obligées de venir travailler un week-end sur deux, et selon Irène : "Vous ne pouviez pas vous tourner sans que quelqu'un ne soit placé derrière vous. C'est comme ça qu'on emballait les produits dans l'entreprise", a-t-elle indiqué. Et de conclure : "J'ai de l'anxiété donc je devais aller beaucoup de fois aux toilettes, car j'étais dépassée de travailler avec autant de monde. Je ne pouvais pas vraiment bouger, ni parler avec les autres."