La famille Kretz, spécialisée dans la vente de l'immobilier de luxe poursuit son petit chemin dans l'émission L'agence, l'immobilier de luxe en famille, diffusée sur TMC depuis 2020. Le programme met notamment en scène des célébrités désirant vendre leur maison ou appartement et, cette saison, François Berléand a fait appel à la famille pour se débarrasser de sa propriété située dans le Pays basque, en travaux depuis des années et dans un état désastreux. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que le célèbre acteur français s'est montré très dur en affaire...
Comme il l'expliquait récemment dans l'émission C à Vous, le comédien a acheté "une très vieille ferme dans le Pays basque" dont les travaux durent depuis cinq ans et sont "une catastrophe sans précédent". C'est donc avec grand soulagement qu'il a contacté la famille Kretz. Très vite, les professionnels de l'immobilier ont trouvé un acquéreur. "On a eu pas mal de visites et on a des clients qui sont très sérieux, qui sont de Bordeaux. Lui a une entreprise dans le bâtiment donc les travaux, ça ne lui fait pas du tout peur. Pour nous, c'est le profil parfait et c'est un client qui a fait une offre qui est, certes, un peu loin de vos attentes, je pense, parce qu'elle est de 450 000 euros", ont annoncé Martin, Valentin et Louis, les fils de la famille. Mais visiblement, cette proposition n'a pas du tout enchanté l'acteur...
Je n'en peux plus de payer pour cette ruine !
"Impossible. Ce n'est même pas envisageable", a lâché François Berléand avant de s'expliquer : "Moi, je ne peux pas, j'ai un crédit à rembourser de 585 000 euros. Je n'en peux plus de payer pour cette ruine ! On m'a escroqué ! D'ailleurs j'ai porté plainte grâce à vous. J'ai un constat d'huissier, j'ai pris enfin conscience de la gravité des choses."
Il faut dire qu'il y a quelques semaines à peine, le comédien révélait avoir été victime d'une escroquerie concernant cette maison. "On m'avait fait miroiter des choses extraordinaires et les entreprises qui ont travaillé ont toutes fait faillite les unes après les autres. Les associés se rejettent la faute. Après, une autre entreprise est venue en me disant qu'on allait s'occuper de moi. Ça, c'était avant le confinement et je les attends toujours", s'énervait-il alors.
Heureusement, François Berléand a fini par trouver lui-même un acheteur qui lui a proposé "entre 600 000 et 680 000 euros".