Le film de votre soirée : Le clown Roberto Benigni dans l'enfer des camps...

En 1998, lors du Festival de Cannes, si le grand Theo Angelopoulos remportait la Palme d'Or avec L'Éternité et un Jour, c'est le cinéaste et comédien italien Roberto Benigni qui avait bouleversé la Croisette avec La vie est belle (voir la bande-annonce ci-dessus).

Après avoir fait pleurer les festivaliers avec son film, il les fit hurler de rire lors de la remise des prix en montant sur scène pour recevoir le Grand Prix du Jury, et en s'agenouillant et baisant les pieds de Martin Scorsese, alors président du jury.

L'histoire : En 1938, Guido, jeune homme plein de gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l'administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiancailles avec un bureaucrate du régime. Cinq ans plus tard, Guido et Dora ont un fils : Giosue. Mais les lois raciales sont entrées en vigueur et Guido est juif. Il est alors déporté avec son fils. Par amour pour eux, Dora monte de son plein gré dans le train qui les emmène aux camps de la mort où Guido va tout faire pour éviter l'horreur à son fils...

Diffusé le mardi 17 mai à 23h15 sur Paris Première, La vie est belle, de Roberto Benigni (qui entamera bientôt le tournage du nouveau Woody Allen) est le film que vous conseille aujourd'hui Purepeople.com pour votre soirée ciné à la télé.