C'était il y a déjà 20 ans. En 2001, Loft Story, la première télé-réalité en France, débarquait sur nos écrans. Plusieurs jeunes hommes et femmes, à l'instar de Loana Petrucciani, Steevy Boulay, Jean-Edouard Lipa, Christophe et Julie Mercy, étaient enfermés dans un loft et filmés 24/24h. Kenza Braiga, ex-candidate de l'émission, donne de ses nouvelles deux décennies après cette expérience. La jolie brune sera sur le plateau de C8 le 8 avril 2021 à l'occasion de la grande soirée qui célèbre le vingtième anniversaire de Loft Story, avec Benjamin Castaldi et bien d'autres. L'occasion pour elle de donner une interview à nos confrères de Télé Star.
À l'époque de sa participation à l'émission d'enfermement, Kenza Braiga était commerciale en informatique. Aujourd'hui, elle exerce dans un tout autre domaine. En effet, l'ancienne candidate de télé-réalité évolue dans le monde de la radio. "Je suis journaliste et productrice pour Webradios éditions, un groupe éditeurs de radios thématiques digitales. J'écris aussi pour la presse, confie-t-elle. Le fait d'avoir fait Loft Story ne m'a pas forcément aidée. J'ai dû me battre et faire doublement mes preuves."
Et ce n'est pas sa notoriété soudaine qui l'a poussée vers cette voie. Bien avant d'intégrer le programme diffusé sur M6, elle posait déjà sa voix. "Ma passion était la radio et j'en faisais déjà depuis cinq ans en tant que bénévole. Je ne suis pas arrivée dans ce métier par hasard", assure-t-elle. D'ailleurs, en participant à Loft Story, elle a cru à de belles promesses... "Cela a été une belle expérience humaine. Mais professionnellement, le Loft n'a pas été un tremplin pour moi, se souvient-elle. On a entendu pas mal d'idées reçues, notamment qu'on allait nous confier un travail en rapport avec nos passions à la sortie. Pour l'un, c'était DJ, pour moi animatrice radio, etc. Tout ça, c'était du vent, un leurre. Chacun a dû construire sa carrière seul."
Aujourd'hui, Kenza Braiga, qui a vécu une belle idylle avec le chroniqueur de Touche pas à mon poste (C8) Jean-Michel Maire, est volontairement retournée à l'anonymat. "Si c'était à refaire, je ne le referais pas. Le prix à payer était trop cher (...). Aujourd'hui, l'anonymat, je le cherche et je le savoure en ayant une vie simple et un quotidien rempli de projets", confie-t-elle. Vingt ans plus tard, elle accepte toutefois de participer au prime spécial Loft Story. "C'est le bon moment pour que le public découvre la femme que je suis devenue. On a tous eu des parcours éclectiques. On a vécu une belle expérience qui nous a dépassés", explique-t-elle.