Tout en assurant la promotion de son nouveau livre, C'est pas si compliqué (éditions Flammarion), Lorie Pester s'occupe de sa petite fille Nina, aujourd'hui âgée de 4 mois. Toujours aussi active sur les réseaux sociaux, la chanteuse et comédienne s'est saisie de son compte Instagram pour partager un nouvel extrait de sa vie (glamour) de jeune maman...
Si la star de 38 ans a récemment partagé plusieurs photos d'elle apprêtée, en cabine de maquillage, une toute autre ambiance se joue en Story... Le 10 décembre 2020, Lorie a en effet amusé ses fans en dévoilant un selfie dans lequel tous les jeunes parents peuvent facilement se reconnaître : "Un petit vomito sur l'épaule... C'est chic, c'est bio, c'est chaud... et parfois, ça coule dans le cou ! Mon accessoire mode pour cet hiver ! #mamanheureuse", a-t-elle commenté avec humour, le sweat-shirt relooké.
Jeudi matin, entre deux biberons, Lorie était l'invitée de l'émission La Maison des maternelles sur France 4, pour parler de l'endométriose. Tout en revenant sur la définition de cette maladie gynécologique chronique et ses symptômes, parfois très handicapants pour les nombreuses femmes qui en souffrent, l'animatrice Agathe Lecaron et ses chroniqueurs ont écouté le témoignage de Lorie, qui a réussi à concevoir son premier enfant malgré la maladie. Comme à son habitude, la star a pris le soin de ne pas mentionner son mystérieux compagnon.
"On a essayé naturellement, ça a duré 8 mois. Puis, comme on ne peut pas essayer trop longtemps parce que les règles reviennent, les douleurs aussi, la maladie se propage, à un moment donné, on s'est dit 'stop, on va essayer de tenter une FIV [Fécondation in vitro, NDLR]'", Lorie a-t-elle d'abord expliqué. S'en est suivi une période dite de "stimulation", durant laquelle la comédienne se faisait régulièrement des piqures entre deux scènes, puisqu'elle tournait alors dans la série Demain nous appartient. Des efforts qui ont fini par payer : "J'ai eu quatre ovocytes, qui ont donné deux embryons. Le premier transfert n'a pas fonctionné, mais on a eu beaucoup de chance parce que le deuxième a fonctionné (...). Franchement, quand on voit le résultat, ça valait le coup."