Aujourd'hui heureuse en couple avec Yann Dernaucourt, manager d'Eddy de Pretto et maman de Nina (3 ans), Lorie Pester vit des jours heureux en famille. Protégeant sa vie privée et ne montrant avec parcimonie que des instants choisis avec les siens à travers les réseaux sociaux. Celle qu'on retrouve dans Les Mystères de la Duchesse sur France 3 ce samedi 7 octobre se préserve, elle qui a vu les projecteurs être braqués depuis des dizaines d'années sur elle. Son couple avec un célèbre acteur avait notamment fait couler de l'encre.
L'ex de de Billy Crawford a aussi été en couple avec le comédien Philippe Bas de 2010 à 2012 et ils étaient heureux durant cette période de partager de nombreuses apparitions en couple devant les photographes lors de différents événements. En 2011, il avait confié dans Ici Paris à propos de son couple, né après qu'ils aient collaboré ensemble dans Un mari de trop, téléfilm de TF1 : "Ce n'est pas devant les caméras que les choses se sont passées" car "l'amour avec Lorie, ce n'est pas du cinéma. C'est autre chose, de bien plus sérieux. C'est la source de tout".
Entre nous, ce n'était pas possible
De son côté, l'interprète de C'est le week-end a également eu des mots élogieux pour l'homme qui a partagé sa vie mais également sincères quant à leur rupture, dans les pages de Gala en 2013 : "J'ai eu un véritable coup de foudre la première fois que je l'ai vu. C'était très fort. (...) Philippe est quelqu'un que j'adore et que j'aimerai toujours, mais entre nous, ce n'était pas possible. Il y avait trop d'incompréhension. On ne voyait pas forcément la vie de la même manière."
Sereine dans sa vie privée aujourd'hui, Lorie Pester a dû affronter des questions délicates du point de vue de sa santé. Le 20 septembre 2018, elle a déclaré être atteinte d'endométriose et avoir vécu une grossesse extra-utérine l'obligeant à se faire opérer en urgence. Voulant libérer la parole sur ce sujet, elle sensibilise régulièrement l'opinion sur ce mal qui touche en France environ 10% des femmes en âge de procréer, soit 1,5 à 2,5 millions de femmes, selon le ministre de la Santé.