Jeudi 1er juin, le prince Hussein de Jordanie s'est marié avec Rajwa al-Saif, une superbe Saoudienne au Palais Zahran, où l'actuel souverain avait épousé Rania en 1993. Un mariage royal en présence de nombreuses têtes couronnées. Le fils aîné de la reine Rania de Jordanie et du roi Abdallah II de Jordanie a convié de grands noms de la royauté pour l'occasion comme le prince William et la princesse de Galles Kate Middleton, superbe dans robe rose pâle, décorée de dentelles et signée Elie Saab. Les rois de Belgique et des Pays-Bas ont eux aussi fait le déplacement tout comme, entre autres, les princes et princesses héritier(e)s du Danemark ou de Suède.
Mais la star de cette journée était bien sûr la sublime Rajwa, la mariée. Celle que le prince Hussein a rencontré aux Etats-Unis lorsqu'ils faisaient leurs études, portait elle aussi une robe Elie Saab. Cette création du styliste libanais était blanche, of course et portée près du corps. Les manches étaient longues, il n'y avait pas de décolleté ni de jambes apparentes ce qui faisait partie des codes vestimentaires de l'événement. Une tenue ultra chic donc qui avait deux particularités : une traîne qui partait des hanches et qui était brodée sur les extrémités, et un effet drapé sur le buste. La sublime mariée portait un diadème et un voile aussi long que la traîne.
Lors de la cérémonie, Ajwa avait pour demoiselles d'honneur ses deux belles-soeurs, les princesses Iman (qui s'est elle-même mariée en mars) et Salma. Elle a été conduite à l'autel par son beau-frère, le prince Hashem (18 ans). Lors de son entrée face au prince, celui-ci, les yeux plein d'amour l'a applaudie ainsi que toute la salle. Rania, très émue, souriait à son fils et sa belle-fille.
Rania de Jordanie, qui portait une tenue d'une couleur surprenante, et le roi Abdallah II ont rapidement accepté Rajwa, dont la mère est Azza al-Sudairi, grande cousine du roi saoudien Salmane ben Abdelaziz al-Saoud, dans leur famille. Plusieurs fois ils sont allés à sa rencontre à Londres et l'entente semble parfaite entre eux. Et c'est tant mieux.