Les nouvelles ne sont pas bonnes pour Marie Garet. En ce début de semaine, la grande gagnante de Secret Story 5 en 2011 a fait l'objet d'un message très inquiétant, partagé sur son compte Instagram. "Marie Garet est décédée cette nuit", peut-on toujours lire sous la photo d'un fond noir. Après plusieurs heures d'inquiétude, ses fans ont finalement été rassurés par le journaliste Nicolas Touderte, qui a indiqué qu'il s'agissait d'un piratage. Mais, dans la foulée, il annonçait malgré tout son hospitalisation. Contactée directement, Marie Garet a confirmé ses propos, sans donner pour autant de précisions supplémentaires. C'est le célèbre blogueur Aqababe qui a par la suite apporté son lot de réponses, révélant que la jolie blonde de 33 ans aurait tout bonnement été violemment agressée par... son petit ami.
Dans sa story Instagram, il raconte : "Oui, elle est actuellement en soins intensifs, dû au fait qu'elle s'est fait tabasser par son mec actuel. Hier, ils sont partis à la dune à Montpellier. Fin de soirée, il l'a massacrée, laissée pour morte inconsciente. C'est des meufs qui ont vu Marie et ont appelé les secours. La mère de Marie a donc appelé son mec et il lui a répondu : 'Je ne suis plus avec ta fille, je ne sais pas.'" Des déclarations glaçantes...
La nouvelle est d'autant plus désolante que tout le monde pensait qu'entre Marie Garet et celui qu'elle présentait comme un papa de trois enfants et un chef d'entreprise, c'était l'amour avec un grand A. Récemment, des rumeurs circulaient même au sujet d'une éventuelle première grossesse après une photo postée par l'ex de Geoffrey sur laquelle on pensait voir se dessiner un baby bump. À l'heure où nous écrivons ses lignes, Marie Garet n'a pas réagi à propos de ces présumées violences conjugales.
Ce ne serait malheureusement pas la première fois que l'ex-candidate de télé-réalité se retrouve dans une relation hautement toxique. En 2014 déjà, elle racontait dans son livre Mes larmes, etc. qu'elle avait vécu deux ans avec un homme qu'elle qualifiait de "pervers narcissique". "Il m'isolait de mes proches en les harcelant. Il fliquait mon téléphone, mon ordinateur. (...) Il m'imposait aussi des rapports physiques après m'avoir empêchée de dormir une partie de la nuit. Il me poussait violemment pour que je me fasse mal, disant que c'était de ma faute si je tombais", avait-elle relaté à l'époque.