Les révélations se succèdent, tandis que la nouvelle version de Finding Freedom, biographie portant sur Meghan Markle et le prince Harry, est sorti le 31 août dernier. Ses auteurs, Omid Scobie et Carolyn Durand, ont affirmé que les anciens employés de la Duchesse de Sussex, qui l'accusaient de harcèlement, ont décidé d'annuler leurs plaintes. Jason Knauf, ancien attaché de presse du couple royal, a porté plainte en octobre 2018. Comme on l'apprend dans le nouvel ouvrage, ce dernier aurait agit "apparemment dans le but d'amener le palais de Buckingham à protéger le personnel qui, selon lui, subissait la pression de la duchesse", rapporte Entertainement Tonight.
Ce désistement a ensuite été suivi par les deux autres présumées victimes de Meghan Markle. "Les sources confirment qu'en découvrant l'email de Jason Knauf, deux autres personnes mentionnées dans le message ont demandé l'annulation de toutes les allégations transmises au service des Ressources humaines à propos de leurs expériences avec Meghan", peut-on lire dans la biographie, comme le souligne le site d'informations.
Pour rappel, l'affaire avait été rendue public en mars dernier par le magazine The Times. A l'époque, les parents d'Archie et de Lilibet (2 ans et 3 mois) venaient de vider leur sac chez Oprah Winfrey et accusaient certains membres de la famille royale de racistes.
En réponse, Meghan Markle a dû faire face à des allégations portées par d'anciens collaborateurs, qui l'avaient affublée d'un surnom peu flatteur : Ouragan Meghan. Le palais de Buckingham avait alors lancé une procédure pour faire toute la lumière sur "cette campagne de diffamation", comme l'avait qualifié un porte-parole du prince Harry et de son épouse.