La hache de guerre est loin d'être enterrée. Alors que Meghan Markle lançait de terribles accusations contre Buckingham Palace lors de son entretien avec Oprah Winfrey, en mars dernier, elle est à son tour au coeur de la tourmente. Depuis des années, la duchesse de Sussex est soupçonnée d'adopter un comportement intolérable envers certains de ses employés, lui valant même le terrible surnom d'Ouragan Meghan... des faits qui seraient confirmés par un échange de mails qui vient de ressortir de derrière les fagots, et qui prouverait qu'elle a harcelé moralement une partie de son entourage professionnel.
Le Palais de Buckingham a engagé un cabinet d'avocats indépendant externe pour mener l'enquête. Ces allégations, Meghan Markle serait prête à les descendre les unes après les autres, puisqu'elle dénonce une "campagne de diffamation" à son encontre. Forcément, entre les deux camps, les relations risquent de se ternir encore un peu plus. "On a la sensation que les choses se dirigent vers une confrontation brutale, explique une source proche de l'enquête au Mirror. Le Palais prend chaque allégation très au sérieux, veut découvrir la vérité à propos de cette affaire et s'assurer que ceux qui ont besoin de s'exprimer puissent être entendus. Mais Meghan est catégorique : le personnel n'était pas à la hauteur de son travail et ne pouvait pas faire face à la pression."
Elle a toujours quelqu'un dans sa ligne de mire
La maman de Lilibet aurait harcelé deux personnes et aurait contribué à "détruire la confiance" d'une troisième. C'est en tout cas ce qu'on peut lire dans un email, révélé plus tôt en juin par le Times, qui a été envoyé par Jason Knauf, l'ancien attaché de presse de la duchesse et du duc de Sussex. "Je suis très préoccupé par le fait que Meghan Markle puisse harceler deux de ses assistants. Le traitement qu'elle réserve à X est complètement inacceptable, écrivait-il à Simon Case, le secrétaire privé du prince Harry. Elle a toujours quelqu'un dans sa ligne de mire. Elle intimide Y. Nous avons reçu beaucoup de rapports de personnes ayant été témoins de ce comportement." Diffamation ou vérité ? L'enquête est en cours...