Une petite phrase qui n'est pas passée inaperçue. Présente à l'avant-première londonienne du Roi Lion, le 14 juillet 2019, Meghan Markle a non seulement rencontré Beyoncé et Jay-Z, mais aussi Pharrell Williams, producteur de la nouvelle bande originale. Entre deux poignées de main, la duchesse a laissé échapper un commentaire étonnant à son compatriote américain.
Comme le montre une vidéo publiée par ITV News le 16 juillet, Pharrell Williams a profité de cette rencontre royale pour complimenter le prince Harry et son épouse. "C'est si beau, votre union. L'amour est incroyable. C'est magnifique. Ne le prenez jamais pour acquis, mais ce qu'il signifie dans le climat actuel, je voulais vous dire, est très important pour beaucoup d'entre nous, a affirmé le producteur de 46 ans. Sérieusement. C'est important. Nous vous soutenons, les gars." Ce à quoi Meghan Markle a répondu tout sourire : "Merci. Ils ne rendent pas les choses faciles."
L'ancienne actrice de 37 ans faisait-elle référence aux nombreuses critiques auxquelles elle a dû faire face depuis l'annonce de son mariage avec le prince Harry ? Depuis le début de leur romance entamée à l'été 2017, le fait que Meghan Markle soit à la fois métisse, américaine et divorcée a fait couler beaucoup d'encre. Trop exigeante, trop moderne ou trop dépensière : autant de qualificatifs qui la suivent depuis qu'elle a officiellement rejoint la famille royale en mai 2018. Les rumeurs affirmant qu'elle ne s'entendrait pas avec sa populaire belle-soeur Kate Middleton, au point de créer un fossé entre les princes William et Harry, n'ont fait qu'ajouter de l'huile sur le feu.
Plus récemment encore, le choix des Sussex d'élever leur fils Archie (2 mois) le plus loin possible des médias, tel un citoyen ordinaire, fait grincer des dents outre-Manche. Leur décision de faire baptiser leur petit garçon dans la plus stricte intimité le 6 juillet dernier à Windsor n'a pas manqué de déclencher une nouvelle vague de critiques, certains spécialistes pointant du doigt le fait qu'ils ont dépensé 2,7 millions d'euros, prélevés sur les impôts royaux, pour rénover leur Frogmore Cottage. "Ils ne peuvent pas avoir l'un et l'autre, a commenté la biographe Penny Junor auprès du Sunday Times. Soit ils font tout de façon privée, payent pour leur maison et disparaissent, soit ils jouent le jeu comme il faut."