Le divorce entre Mel B et Stephen Belafonte, c'est un peu comme un soap opera, avec d'innombrables rebondissements. En pleine procédure de divorce, les parents de la petite Madison (5 ans) se disputaient depuis plusieurs semaines autour des indemnités compensatoires que pourrait verser l'ancienne Spice Girl au producteur américain dans le cadre de leur séparation. Depuis, un juge a tranché et on peut dire la chanteuse et britannique de 42 ans l'a mauvaise.
Le site TMZ a révélé qu'un juge a ordonné à l'ex-popstar de verser 40 000 dollars par mois de pension alimentaire à Stephen Belafonte, dont elle est séparée depuis mars dernier. Selon le site américain, la somme aurait même pu être plus élevée en raison des revenus de la star, mais elle a finalement été abaissée. De plus, d'après People, Mel B devra également payer à son ex 140 000 dollars de frais d'avocats et d'expertises médico-légales.
Au début de l'affaire pourtant, c'était plutôt Mel B qui avait le pouvoir. L'ex Spice Girl avait accusé Stephen Belafonte de violences conjugales et obtenu, un mois après l'annonce de leur séparation, une injonction d'éloignement temporaire contre lui. Mel B avait expliqué qu'il l'avait trompée avec la baby-sitter de leur fille (Lorraine Gilles), et qu'il aurait abusé d'elle, la frappant et maintenant sur elle une dangereuse emprise psychologique. Elle avait par la même occasion obtenu la garde de Madison, alors que son futur ex-mari producteur de cinéma demandait une garde partagée. Ce dernier a alors riposté, et a eu le culot de faire une demande de pension alimentaire, se montrant assez gourmand dans ses exigences, à savoir 4 300 dollars par mois pour subvenir à ses dépenses alimentaires, 2 000 dollars mensuels pour pouvoir s'habiller, 11 000 dollars par mois pour son logement et 750 dollars par mois pour se payer un téléphone et autres factures de ce genre... Le plus ironique dans cette histoire, c'est qu'il a donc obtenu gain de cause !