La terrible histoire de Lola n'a pas fini d'émouvoir et de mettre en colère. La découverte vendredi dans une malle du corps d'une collégienne de 12 ans, prénommée Lola, a été largement commentée, ayant touché le plus grand nombre. Une femme de 24 ans, principale suspecte du meurtre de Lola a été mise en examen lundi 17 octobre par un juge d'instruction parisien pour "meurtre" et "viol aggravé". Sur les réseaux sociaux, de nombreuses personnalités ont réagi à ce drame, et après Arthur c'est Faustine Bollaert qui a posté un message très fort sur Instagram.
"Et puis d'un coup.... Découvrir son visage, écrit l'animatrice de Ça commence aujourd'hui. Bien plus que l'annonce glaçante de son meurtre abominable, le visage de cette petite fille ne doit jamais être oublié.
Lola aurait pu être notre fille, notre soeur..." Sur Instagram, Faustine Bollaert a partagé la photo de l'adolescente. Comment peut-on commettre l'innommable? Je ne veux jamais oublier son regard. Je le pose ici en pensant infiniment à elle. À sa famille plus que tout. A ses amis. À ce que qu'elle aurait pu devenir. À ces bonheurs qu'elle ne connaîtra pas, continue-t-elle. J'ai honte Lola. Honte de cohabiter avec ceux qui t'ont fait subir cela. À ma manière, même sans te connaître, je t'envoie tout mon amour de maman et de femme." Mère de deux enfants, Abbie et Peter (9 et 7 ans, fruit de son union avec Maxime Chattam), l'animatrice de 43 ans, très affectée, a eu besoin de partager cette terrible affaire.
Je ne sais pas comment je pourrais réagir
Elle n'est pas la seule. "Je ne sais pas comment je pourrais réagir... que ce visage reste en nous longtemps , même les enfants...", a ainsi écrit Julien Courbet sur Twitter. Quand Alexandra Lamy semblait ne même pas trouver les mots. "Je n'ai pas les mots pour ce crime monstrueux. De tout coeur avec sa famille et ses proches", s'est-elle ainsi ému. "Meurtre de Lola 12 ans. Intolérable, inimaginable. Je n'ai pas les mots devant une telle horreur. Ensemble, continuons ce combat, protégeons nos enfants", a écrit de son côté Jean-Luc Reichmann.
Selon une source proche du dossier, elle a été mise en examen pour "meurtre de mineur de moins de 15 ans" et "viol commis avec actes de torture et de barbarie", rapporte l'AFP. La principale suspecte, une femme de 24 ans, d'origine algérienne, était connue des services de police comme victime en 2018 de violences conjugales, précisent nos confrères.