Miley Cyrus accorde une interview à Billboard : elle y dévoile enfin sa vraie personnalité, celle d'une jeune femme torturée, bien loin de l'image teenager qu'elle renvoie.
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Un gigantesque "M" fermement saisi entre ses mains recouvertes de gants en cuir et affiché en une du Billboard, l'un des magazines musicaux les plus populaires aux Etats-Unis, pour symboliser son archi-domination dans les médias : musique, séries télé, cinéma, produits dérivés (bien que parfois toxique !), tout réussit à Miley Cyrus qui s'apprête à revenir avec un troisième album, Can't be tamed, dans les bacs le 21 juin. Elle donnera d'ailleurs un showcase à Paris, ce mardi 1er juin, pour présenter cet opus à son public français.
Le quotidien France-Soir s'interroge ce matin sur le marketing made in Disney et... le voeu d'abstinence que font certaines figures marquantes de ce juteux business : Miley Cyrus, sexy en diable dans son dernier clip, ou encore les Jonas Brothers qui ont misé sur des anneaux symbolisant leur voeu de chasteté. Mais outre la stratégie marketing, dans quelle mesure ces engagements pris par des adolescents en pleine construction peuvent-ils être pris au sérieux ?
De son côté, Miley n'est pas dupe de tout ce qui se passe et des enjeux colossaux qui se jouent derrière son nom : c'est dans les pages de Billboard qu'elle dévoile enfin son vrai visage, celui d'une adulte en construction, torturée entre l'image d'adolescente qu'elle s'est longtemps donnée (ou qui lui a été suggérée ?) et celle d'une femme qui essaie de percer la chrysalide pour devenir papillon.
"Je n'écoute pas du tout de musique pop, ce qui est très étrange pour quelqu'un qui fait de la pop. La fille que j'étais à l'âge de 13 ans voudrait fracasser la fille que je suis aujourd'hui, car il penserait que je suis une vendue. Je sais que ce n'est pas le cas. Je ne fais pas que de la dance avec des paroles du type 'Youpi, je danse en boîte et tout le monde a les yeux rivés sur moi' (en référence à son single Party in the USA, ndlr). Je ne suis pas là à essayer de vendre des paillettes et du glamour... parce que personne ne vit cette vie-là. Beaucoup de chansons pop sont superficielles, les miennes ne le sont pas", se défend la starlette lancée par Disney en 2006 via la série Hannah Montana.
De quoi remettre en question toutes les idées reçues que nous pouvions avoir sur Miley ?
JO
Le quotidien France-Soir s'interroge ce matin sur le marketing made in Disney et... le voeu d'abstinence que font certaines figures marquantes de ce juteux business : Miley Cyrus, sexy en diable dans son dernier clip, ou encore les Jonas Brothers qui ont misé sur des anneaux symbolisant leur voeu de chasteté. Mais outre la stratégie marketing, dans quelle mesure ces engagements pris par des adolescents en pleine construction peuvent-ils être pris au sérieux ?
De son côté, Miley n'est pas dupe de tout ce qui se passe et des enjeux colossaux qui se jouent derrière son nom : c'est dans les pages de Billboard qu'elle dévoile enfin son vrai visage, celui d'une adulte en construction, torturée entre l'image d'adolescente qu'elle s'est longtemps donnée (ou qui lui a été suggérée ?) et celle d'une femme qui essaie de percer la chrysalide pour devenir papillon.
"Je n'écoute pas du tout de musique pop, ce qui est très étrange pour quelqu'un qui fait de la pop. La fille que j'étais à l'âge de 13 ans voudrait fracasser la fille que je suis aujourd'hui, car il penserait que je suis une vendue. Je sais que ce n'est pas le cas. Je ne fais pas que de la dance avec des paroles du type 'Youpi, je danse en boîte et tout le monde a les yeux rivés sur moi' (en référence à son single Party in the USA, ndlr). Je ne suis pas là à essayer de vendre des paillettes et du glamour... parce que personne ne vit cette vie-là. Beaucoup de chansons pop sont superficielles, les miennes ne le sont pas", se défend la starlette lancée par Disney en 2006 via la série Hannah Montana.
De quoi remettre en question toutes les idées reçues que nous pouvions avoir sur Miley ?
JO