Presque deux mois après l'annonce de sa séparation d'avec Vincent Cassel, Monica Bellucci est revenue dans Vanity Fair version italienne sur cette rupture qui avait pris tout le monde de court.
Quatorze années de mariage et deux filles, Deva et Léonie (9 et 3 ans), n'auront pas résisté. Dans la version italienne de Vanity Fair, la comédienne est revenue sur cette séparation qui, une fois n'est pas coutume, s'est passée tout en douceur. Pas question ici des habituels déballages. Bien au contraire. "Notre devise a toujours été : 'Aujourd'hui, on est ensemble, et demain, on verra.' Nous sommes restés ensemble dix-huit ans, et avec le rythme de vie que nous avons, nous, les acteurs, c'est une vraie réussite. Nous avons pris la décision [de nous séparer] ensemble. Nous nous sommes toujours aimés dans le respect, avec de vrais sentiments, et l'on se sépare de la même façon. Il ne s'agit aucunement d'un divorce de guerre, avec des dessous qu'il faudrait dévoiler", a ainsi confié la sublime brune de 49 ans.
Rien de tout ça pour le couple séparé dont les relations restent bonnes, comme le démontrait un dîner avec les filles du couple. "L'amour ne disparaît pas, il se transforme, poursuit-elle. Énormément de choses peuvent changer, mais notre famille, elle, restera toujours intacte." Monica Bellucci faisait d'ailleurs dans La Parisienne l'éloge de sa famille, et notamment de ses deux filles Deva et Léonie, à qui elle pouvait désormais consacrer bien plus de temps.
Leur rupture ? Elle n'est finalement que la conséquence de "différentes directions" prises par les anciens amants : "Nous étions tous les deux responsables de la vitalité de notre couple, nous sommes tout autant responsables de sa fin." Pour autant, pas question de se lamenter ou de se laisser aller, bien au contraire. Le célibat a quelques chose de positif comme l'explique l'égérie Dolce & Gabbana à Vanity Fair : "Je suis extraordinairement connectée avec moi-même. Et cela me plaît de faire passer ce message positif à mes filles, pour leur futur : non, avoir un mari ou un compagnon, n'est pas quelque chose d'obligatoire. La solitude ne doit pas faire peur."