Adrien Czajczynski a-t-il une part de responsabilité dans la disparition de son ex-femme, la Youtubeuse MavaChou ? Selon cette dernière et une grande partie des fans de l'influenceuse, il aurait attisé toute la haine dont elle était victime sur les réseaux sociaux. Plus d'un mois après la mort de MavaChou, Adrien Czajczynski continue d'entretenir les liens avec sa communauté par des canaux tels que Youtube et Twitch. S'il reste soft sur la première plateforme, il se lâche un peu plus sur la seconde et fait sauter des barrières. Il évoque notamment Romain, dernier homme à avoir côtoyé la mère de ses enfants, et pointe du doigt ses nombreuses prises de parole après la mort de MavaChou. S'il affirme que le couple était séparé, Adrien Czajczynski va beaucoup plus loin dans les sous-entendus que rapporte Le Parisien : "Comme mon avocat me l'a dit hier, il y a des gens qui vont devoir s'expliquer. Des gens qui ont pris la parole... Tu sais, Jonathann Daval, il s'est affiché dans tous les médias".
Adrien Czajczynski essaie-t-il d'incriminer l'homme qui a partagé la vie de Mava Chou après lui ? Non d'après ses dires : "Attention, je n'accuse personne d'homicide. Mais des gens vont devoir s'expliquer". La communauté de soutien de Maëva Frossard, vrai nom de Mava Chou, aimerait qu'il fasse profil bas étant donné les soupçons qui pèsent sur lui depuis la mort tragique de la jeune femme de 32 ans.
Avant de se donner la mort, Mava Chou avait publié plusieurs vidéos dans lesquelles elle affirmait être victime d'une campagne de harcèlement en ligne violente, alimentée par la haine que son ex-époux semblait avoir à son égard. Elle le soupçonnait même de se cacher derrière de faux comptes en ligne pour déverser toutes ses insultes. Le 17 janvier dernier, Romain, dernier compagnon de Maëva, prenait la parole dans une vidéo avec Jeremstar et révélait les derniers moments de la star des réseaux : "Elle m'a dit au téléphone : 'Je vais fermer les yeux'. [...] Sur le moment, cette phrase n'avait pas le sens qu'elle peut avoir aujourd'hui." Ce n'est qu'en sortant du travail et en constatant qu'elle ne répond pas à ses appels qu'un mauvais pressentiment se fait sentir : "Quand je suis arrivée derrière la baie vitrée, j'ai vu et compris ce qui se passait. J'ai immédiatement prévenu les secours, j'ai dû ouvrir la baie vitrée à coups d'épaule et j'ai tenté une réanimation qui n'a malheureusement servi à rien. Je me tenais debout, je tremblais, j'étais en état de choc".