Dans la nuit du 1er au 2 janvier dernier, une tentative de cambriolage a eu lieu au domicile de Nikos Aliagas à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). L'animateur star de TF1 n'était pas chez lui à ce moment-là, ni sa femme Tina Grigoriou ou leurs enfants, Agathe (née en 2012) et Andréas (né en
Présent ou non, les malfaiteurs n'ont de toute façon pas réussi à s'introduire dans la maison mais simplement à "commettre des dégradations" comme le rappelle Le Parisien. Ils ont ensuite été interceptés par la police, après avoir été repérés, aux alentours de 3h30 du matin, dans une Citroën DS noire le long d'une artère résidentielle qui longe le bois de Vincennes. Une course-poursuite s'en est suivie, laquelle s'est soldée par un accident. Mais les cinq individus, légèrement blessés, ont tous pu être interpellés par les policiers. Ces derniers ont par ailleurs fouillé leur véhicule et y ont retrouvé un attirail tout particulier, laissant penser que le groupe avait une idée bien rodée en tête. "Cagoules, gants, ruban adhésif épais et des colliers de serrage en plastique", liste Le Parisien. Autant d'accessoires qui laissent imaginer un plan de séquestration, comme cela a était fait chez d'autres personnalités.
Car ces derniers mois, un vent d'insécurité souffle en région parisienne, où les stars sont souvent victime de home-jacking. La méthode des malfaiteurs est toujours la même : attendre que la maison s'endorme et passer à l'action, séquestrant alors tout le monde, même les enfants. Ce fut le cas pour l'animateur Bruno Guillon mais aussi plus récemment pour la chanteuse Vitaa. On image que, si leur plan n'avait pas échoué en raison du système d'alarme qu'ils n'ont pas réussi à déjouer, les cambrioleurs espéraient le même scénario autour de la demeure de Nikos Aliagas.
Selon le magistrat qui a étudié toutes ces affaires et qui s'est confié au Parisien, il s'agit d'un "phénomène de groupe et une équipée qui se voulait audacieuse en choisissant l'appartement de quelqu'un de connu". "Le home-jacking est devenu un sport national pour certaines équipes de jeunes", estime de son côté un enquêteur.