Papa d'Oscar, né en 2003 et Léon, né en 2005, fruits de sa relation avec l'écrivaine Amanda Sthers, Patrick Bruel a fait d'eux les égéries de son splendide domaine acheté en 2007 dans le Vaucluse, à l'l'Isle-sur-la-Sorgue. Une ancienne ferme du XIIe siècle qui compte plus de 2 600 oliviers, dont certains auraient été plantés sous François Ier, selon le site officiel du domaine.
Situé dans le Vaucluse et comptant près de 41 hectares, le nom du domaine "LEOS" est d'ailleurs une contraction entre les prénoms de ses fils Léon et Oscar. Un logo à l'effigie de ses enfants a même été spécialement créé pour la marque de Patrick Bruel qui vend également toutes sortes de produits comme du vin, des huiles d'olives vierges extra, des truffes, du miel, des confitures et confits à base de thym sauvage, de la lavande et des soins cosmétiques formulés à partir de feuilles d'oliviers et d'huile d'olive vierge extra.
"Quand j'ai commencé à faire de l'huile d'olive, je n'avais aucune ambition gastronomique. C'était pour ma consommation personnelle, car j'ai toujours aimé ce produit, symbole de paix et pilier de la culture méditerranéenne. À force de m'entendre dire que mon huile était exceptionnelle, en 2015, j'ai décidé de tout remettre à plat : jusque-là, on avait laissé faire la nature sans travailler ni se poser de questions, j'ai eu envie de m'investir pour produire la Zidane de l'huile d'olive, et, d'après ce que me disent certains grands chefs comme Alain Ducasse et Guy Savoy, le résultat n'est pas mal", a confié Patrick Bruel dans les colonnes de Paris Match.
Souvent en rupture de stock, les prix de l'huile d'olive Leos varient de 14 euros à 37,50 euros. Ces huiles ont d'ailleurs été plébiscitées par les plus grands chefs français (Alain Ducasse, Guy Savoy, Gilles Goujon, Alain Dutournier...) et multimédaillées.
Il produit également un vin rosé baptisé également Leos qui a été intronisé par divers représentants d'appellations : La Jurade de Saint-Émilion, Giscours ou Beaujolais. "Nous avions l'idée de produire un vin rouge, mais la vigne a connu dès les premières années un pic de croissance extraordinaire. a-t-il expliqué en janvier 2023 au Figaro, "Le vin est ma toute première passion (...) Nous ne voulions pas produire de rouge dès le départ, et nos réflexions nous ont menés à envisager un rosé. Ce n'était pas le vin vers lequel je comptais me tourner de prime abord, n'étant pas un grand consommateur de rosé moi-même. (...) J'ai nommé cette cuvée rosée Augusta, qui est le prénom de ma mère".
Pour information, le prix des bouteilles varie de 17,90 euros (75 Cl) à 35,80 euros (150 Cl).