Patrick Cohen a fait une confidence à laquelle on ne s'attendait pas !
Jeudi 15 février, Anne-Elisabeth Lemoine a notamment reçu le journaliste Jean-Michel Apathie dans C à vous (France 5) afin d'évoquer l'affaire Nicolas Hulot. Un sujet qui a fait débat entre l'ancien chroniqueur du Grand Journal et Patrick Cohen. Outré par les propos de l'invité, l'animateur d'Europe 1 a lancé : "Vous voulez une confidence ? J'ai été entendu pour meurtre il y a une dizaine d'années sur une affaire privée. J'ai été entendu par les policiers pour meurtre. Est-ce que ça fait de moi un criminel ?"
Il n'en a pas dit plus sur le sujet et a poursuivi son houleux débat avec Jean-Michel Apathie. Pour rappel, le ministre de la Transition écologique a demandé à ses avocats de déposer une plainte en diffamation contre le magazine Ebdo et les journalistes à l'origine d'un article le mettant en cause pour des violences sexuelles. La direction d'Ebdo n'avait pas souhaité réagir avant de connaître le contenu de ladite plainte.
Jeudi 8 février, Nicolas Hulot, au courant de rumeurs circulant dans les rédactions, avait devancé la publication de cet article, démentant sur BFMTV tout comportement inapproprié concernant "deux affaires qui n'en sont pas". Il avait démenti tout harcèlement sexuel concernant une ancienne collaboratrice de l'ex-Fondation Hulot, qui niait elle-même dans Ebdo tout lien avec l'ancien animateur télé. Il avait en revanche reconnu l'existence d'une plainte classée sans suite en 2008 de la petite-fille d'un homme politique célèbre concernant des allégations remontant à 1997.
L'auteure de la plainte pour viol n'est pas identifiée dans l'article, mais il s'agit de Pascale Mitterrand, petite-fille de l'ancien président et fille de Gilbert, qui a dénoncé le lendemain par l'intermédiaire de son avocat une "tempête médiatique". La plainte a été classée sans suite, les faits étant prescrits, selon le parquet de Saint-Malo. Nicolas Hulot a de son côté assuré que les enquêteurs avaient "très rapidement considéré qu'il n'y avait absolument rien qui permettait de poursuivre cette affaire".