C'est probablement le genre d'esclandre dont le clan Schwarzenegger se serait bien passé : samedi 4 mai, Patrick, l'avant-dernier né de la famille, s'est fait éjecter du Sayers Club, une boîte de nuit branchée de Los Angeles, suite à un comportement débordant.
Mais là où le bât blesse davantage, c'est qu'à 19 ans seulement, et selon la loi américaine, le jeune éphèbe n'était pas autorisé à pénétrer dans ce genre d'établissement en premier lieu : d'après le site TMZ, c'est à l'aide d'une fausse identité qu'il y est parvenu. Pas très reluisant, surtout quand on s'avère être le fils d'un ancien gouverneur (son père, Arnold Schwarzenegger, a occupé ce poste pour l'Etat de Californie pendant pas moins de sept ans).
Il a beau avoir un physique d'enfant de coeur, Patrick Schwarzenegger est loin de se comporter comme tel ! Fêtard invétéré, le jeune étudiant a agité samedi 4 mai la nuit californienne et c'est un côté très tête à claques qu'on lui a découvert. De sortie au club Sayers de la Cité des anges, le fils d'Arnold Scwharzenegger et de Maria Shriver s'est vu mettre à la porte après s'en être pris violemment au DJ : pour une raison x ou y, d'après les informations de TMZ, le jeune homme s'est en effet "amusé" à lancer à de nombreuses reprises des glaçons sur ce dernier.
C'est alors, attirant ainsi l'attention sur lui, que la sécurité s'est rendu compte de son identité et l'a gentiment reconduit dehors. Aux Etats-Unis, seules les personnes âgées de 21 ans peuvent en effet sortir en boîte, et selon le site TMZ, c'est en fraudant à l'aide d'un permis de conduire ne lui appartenant pas que Patrick Schwarzenegger a réussi à tromper la vigilance du videur. Un délit passible en Californie d'un an de prison et d'une amende de 1 000 dollars.
Une fois remercié, Patrick Schwarzenegger a poursuivi ses frasques en insultant allègrement le DJ, contre lequel le jeune homme a visiblement une sacrée dent : "Je veux lui défoncer la gueule", n'a-t-il cessé de repéter avant de se voir refuser l'accès à un 4x4, sans doute pour rentrer chez lui. C'est ce qu'on appelle passer une mauvaise nuit. Surtout quand on sait qu'on risque de se faire remonter les bretelles par un patriarche ex-champion de bodybuilding.