"NYC – Paris – Monaco", a consigné Pauline Ducruet en exergue sur son compte Instagram. Mais au-delà de ses ports d'attache, la Monégasque d'origine, ex-étudiante parisienne et modeuse new-yorkaise est une globe-trotter insatiable : après ses récentes vacances entre amis à Mykonos et un bref retour – via le Rocher – dans son home à Big Apple, la fille de la princesse Stéphanie de Monaco s'est offert en début de semaine dernière une brève escale à La Havane, ne manquant pas de partager quelques images de ses flâneries dans la Habana Vieja, le coeur historique de la capitale de Cuba.
Puis elle a rallié Londres, où elle a visiblement retrouvé vendredi 8 septembre 2017, comme sa story Instagram en témoignait alors, son grand ami Maxime Giaccardi. "London calling", clamait-elle ce lundi 11 septembre en début d'après-midi, publiant une image d'un bon moment au KOKO, une fameuse salle de concert de la capitale anglaise.
Mais, de plus en plus, c'est sur papier glacé que les aventures de Pauline Ducruet défilent en images.
Mise à l'honneur au mois de juillet par W Magazine, qui la présentait comme la "nouvelle figure royale hot en plein essor" et lui donnait la parole, la jeune femme de 23 ans a également décroché les faveurs d'une autre revue chic, Paper. Sur Instagram, la créatrice en devenir formée à la Parsons School of Design de New York a dévoilé une photo de mode réalisée par le photographe Simon Lipman, qui l'a immortalisée étendue sur un lit, vêtue d'un ensemble motif pied-de-poule et chaussée de bottes cloutées de strass.
Simon Lipman avait photographié Pauline il y a plusieurs semaines dans le cadre d'un sujet spécial de Paper Magazine inspiré par Las Vegas, clin d'oeil au premier numéro que la publication avait dédié à la capitale du jeu. Shootée à l'hôtel Paris Las Vegas, elle incarnait la mode française, associée à la fashionista italienne Chiara Ferragni pour représenter la Botte au Venetian et à l'Américaine Dove Cameron portant ses couleurs au New York-New York.
Dans W Magazine, Pauline Ducruet, qui a lancé cette année une marque de vêtements unisexe baptisée Altered Designs, avait l'opportunité de détailler son processus créatif, disant s'inspirer "de tout ce qui l'entoure", et sa vision : "Je commence petit et toute seule parce que je veux pouvoir offrir des pièces de qualité en quantité limitée", soulignait-elle, partageant son plaisir d'intervenir tout au long du processus qui va du dessin à la production de la pièce et définissant son univers comme "simple, avant-gardiste et féminin". Et d'ajouter : "C'est tout simplement satisfaisant de voir le produit fini et de pouvoir le porter ou voir mes amies le porter."
Quant à ses modèles, les chiens ne font pas des chats : elle mentionne ainsi "les femmes de [sa] famille". On pense à sa mère la princesse Stéphanie, mais aussi à sa défunte grand-mère la princesse Grace, dont elle possède un manteau Givenchy des années 1960, la pièce de sa garde-robe qu'elle dit chérir le plus.