Pauline Ducruet à New York City, chapitre 2.
"#Backforgood". De retour pour de bon. Laissant derrière elle les vacances (pour mieux y revenir, on n'en doute pas) à Mykonos, ses meilleur(e)s ami(e)s, les couchers de soleil sur la Méditerranée et ses bikinis (notamment un modèle en crochet de la marque Kiini, d'après ce qu'on a pu voir), Pauline Ducruet, les vacances terminées, renoue avec les gratte-ciel de Manhattan, le poumon vert de Central Park et la frénésie de la Grosse Pomme.
Subjuguée par la mégalopole américaine, où elle a passé plusieurs mois au premier semestre dans la cadre d'un stage au sein du Vogue américain, la jeune modeuse monégasque passée par l'Institut Marangoni à Paris a vraisemblablement décidé de retourner s'y installer durablement.
"Devinez qui est de retour ?", écrivait-elle triomphalement en début de semaine en légende d'une photo Instagram prise à Minetta Triangle, un petit coin de verdure du sud de Manhattan (à l'intersection de la 6e Avenue et de Bleecker Street), accompagnée de hashtags éloquents - "de retour dans le coin", "la ville la plus géniale", "de retour pour de bon".
Deux jours plus tard, ce sont les hashtags #backtoschool et #backtowork (retour à l'école, retour au travail) qui faisaient leur apparition, accolés à l'image d'un motto qu'affiche la fille de la princesse Stéphanie de Monaco : "Travaille jusqu'à n'avoir plus besoin de te présenter." La géolocalisation de l'image semble indiquer que Pauline Ducruet a choisi de poursuivre son cursus à la prestigieuse Parsons School of Design, référence des carrières artistiques et créatives, située sur la non moins fameuse 5e Avenue.
A propos de passion pour l'art et la création, la jeune femme de 21 ans enfonçait le clou avec sa dernière photo en date, partagée sur Instagram : on l'y voit poser au Gilded Lily, établissement du quartier du Meatpacking, devant un Lovewall fraîchement réalisé par l'artiste James Goldcrown, comme on peut le constater d'après les comptes des intéressés.
Conquise par les quelque 4 mois qu'elle a déjà passés à Manhattan, ne repartant pas des Etats-Unis avant d'avoir pu y célébrer la Fête nationale (le Jour de l'indépendance, le 4 juillet), Pauline Ducruet ne manquera pas de partager ses tranches de vie d'une modeuse new-yorkaise dans les mois à venir.