Après un début d'année plutôt discret, ils se sont bien rattrapés : sur tous les fronts depuis quelques semaines, le roi Felipe d'Espagne et sa femme Letizia se sont offert une petite session artistique ce mercredi à Madrid. Invités à l'ARCO, un grand salon mondial d'art contemporain, tous les deux ont en effet pu admirer des oeuvres exceptionnelles, comme un tableau de Miró d'une valeur de 3,3 millions d'euros, un de Picasso d'une valeur de 2,5 millions d'euros et une sculpture de Chillida d'une valeur de 1,2 million d'euros.
Une manière pour eux de rendre hommage aux artistes espagnols, mais aussi à une galeriste, Juana de Aizpuru, véritable légende dans son milieu mais qui a été obligée de se mettre en retrait ces dernières années. Proche du couple royal, à 90 ans, elle était notamment l'invitée spéciale du salon. Et a participé à toute l'exposition !
Une expo pendant laquelle la reine est apparue au comble de l'élégance. Comme toujours dotée d'un sens de la mode aiguisé, elle avait notamment revêtu un manteau noir signé de sa créatrice préférée Carolina Herrera, ainsi qu'un pantalon et des escarpins Massimo Dutti. Mais c'est son chemisier, plutôt original, qui a été rapidement repéré par les fans de mode : sans manches, il était composé de différentes bandes de tissu rose pâle et blanc, croisées entre elles. Pour un motif étrange... mais très original !
Il faut dire que Letizia d'Espagne aime bien jouer sur différents styles et tenter de nouvelles choses. Régulièrement en jupe droite ou en pantalon, elle choisit parfois des robes larges et fleuries, brodées ou bien des accessoires étranges... Et on adore la prise de risque !
Des looks qu'elle réserve cependant à des occasions bien particulières. Attendue il y a peu à une messe en hommage à l'oncle de son mari Constantin II de Grèce, elle avait plutôt préféré une robe sombre au large col pour la messe, qui avait été célébrée à Windsor par une partie de la famille royale britannique et devant toute la famille royale grecque.
Une cérémonie pendant laquelle elle s'était montrée brillante mais quelque peu effacée. Il faut dire qu'autour d'elle se trouvaient des femmes avec qui les relations sont difficiles comme ses deux belles soeurs, les princesses Elena et Cristina d'Espagne, ou bien Marie-Chantal de Grèce, réputée comme étant son "ennemie" dans le gotha européen.
Heureusement, à Madrid, elle est libre de briller comme elle le veut... et ne s'en prive pas !