Nicolas Duvauchelle lors de l'avant-première de La Blonde aux seins nus le 19 juillet 2010© Abaca
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Bad boy au cinéma ou à la télévision avec Braquo, Nicolas Duvauchelle traîne cette réputation hors des plateaux. Mais entre la forme et le fond, il y a un fossé. Pour la sortie du film La Blonde aux seins nus (au cinéma depuis le 21 juillet), le comédien se livre dans une interview pour Grazia, sans fioritures et avec sincérité. Extraits.
D'où lui vient cette notoriété de mauvais garçon ? "J'imagine que c'est parce que j'ai commencé au cinéma en faisant de la boxe ou à cause de ma façon de parler." En effet, il a explosé sur le grand écran en jouant dans Le Petit Voleur d'Erick Zonca. Cependant, il ne se trouve pas plus rebelle que les autres jeunes : "Comme tous les gens de mon âge non ? A part les jeunes de l'UMP, tout le monde a envie de changer de monde à 20 ans, de tout casser." L'acteur a tout de même eu affaire à la justice, pour conduite en état d'ivresse et sous l'emprise de stupéfiants.
Il a fallu également trouver une solution à tous ses tatouages qui ne s'accordent pas forcément au sujet des longs métrages : "C'est arrivé sur un film d'époque, Le Grand Meaulnes. On te met un spray bizarre, tu te retrouves avec une peau de serpent. Si ça ne tenait qu'à moi, j'en aurais plus."
Pour construire sa filmographie, il a pu compter sur les choix de réalisateurs comme André Téchiné (La Fille du RER), Alain Resnais (Les Herbes folles) ou encore Xavier Giannoli (Les Corps impatients, Une aventure) : "Ils ont vu en moi quelque chose que les autres ne voyaient pas. [...] Que je n'étais pas un débile qui a deux de QI."
L'émotion paternelle l'envahit quand il aborde sa fille Bonnie, qu'il a eue avec Ludivine Sagnier - dont il est désormais séparé - il y a cinq ans : "Ça a changé ma vie. [...] Quand tu as une gamine de 5 ans qui te sollicite tout le temps, tu es obligé de t'oublier, d'être moins égoïste. [...] J'adore l'heure du coucher, quand il faut lui raconter une histoire. C'est le moment où les enfants se confient beaucoup. En fait, j'aime tout ! [Rires]" Mais si elle lui demande d'être actrice il sait déjà quoi lui répondre : "Passe ton bac d'abord."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans Grazia, édition du 23 au 29 juillet 2010.
D'où lui vient cette notoriété de mauvais garçon ? "J'imagine que c'est parce que j'ai commencé au cinéma en faisant de la boxe ou à cause de ma façon de parler." En effet, il a explosé sur le grand écran en jouant dans Le Petit Voleur d'Erick Zonca. Cependant, il ne se trouve pas plus rebelle que les autres jeunes : "Comme tous les gens de mon âge non ? A part les jeunes de l'UMP, tout le monde a envie de changer de monde à 20 ans, de tout casser." L'acteur a tout de même eu affaire à la justice, pour conduite en état d'ivresse et sous l'emprise de stupéfiants.
Il a fallu également trouver une solution à tous ses tatouages qui ne s'accordent pas forcément au sujet des longs métrages : "C'est arrivé sur un film d'époque, Le Grand Meaulnes. On te met un spray bizarre, tu te retrouves avec une peau de serpent. Si ça ne tenait qu'à moi, j'en aurais plus."
Pour construire sa filmographie, il a pu compter sur les choix de réalisateurs comme André Téchiné (La Fille du RER), Alain Resnais (Les Herbes folles) ou encore Xavier Giannoli (Les Corps impatients, Une aventure) : "Ils ont vu en moi quelque chose que les autres ne voyaient pas. [...] Que je n'étais pas un débile qui a deux de QI."
L'émotion paternelle l'envahit quand il aborde sa fille Bonnie, qu'il a eue avec Ludivine Sagnier - dont il est désormais séparé - il y a cinq ans : "Ça a changé ma vie. [...] Quand tu as une gamine de 5 ans qui te sollicite tout le temps, tu es obligé de t'oublier, d'être moins égoïste. [...] J'adore l'heure du coucher, quand il faut lui raconter une histoire. C'est le moment où les enfants se confient beaucoup. En fait, j'aime tout ! [Rires]" Mais si elle lui demande d'être actrice il sait déjà quoi lui répondre : "Passe ton bac d'abord."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans Grazia, édition du 23 au 29 juillet 2010.